Préambule
Special Hobby a créé la surprise en produisant ce Zéphyr qui, inutile de le préciser, était très attendu par les amateurs d’aéronefs français depuis fort longtemps.
Présentation
La maquette contient de nombreuses pièces en option, dont celles propres au CM.170 Magister qui devrait être disponible au moment où paraîtront ces lignes. A l’analyse des grappes, on comprend que Special Hobby a bien étudié le sujet.
Je me suis rapidement décidé pour la décoration. Des unités utilisatrices (57S, 2S, Section Fouga de Landivisiau, et 59S), c'est cette dernière qui a orienté mon choix tout simplement parce qu'elle fut celle qui l'a exploité tout au long de son service. Il y a aussi le fait que, des quatre décorations proposées par Special Hobby, trois concernent des appareils de cette unité : les n° 4, 11 et 16. J'ai choisi le n° 11 qui était parmi les 7 derniers Zéphyr en ligne lors de la cérémonie de retrait à Hyères le 25 novembre 1994 (pour un retrait effectif le 1er décembre). Pourquoi celui-ci ? Parce que face au faible choix de décorations, je voulais représenter une machine en fin de carrière, certes entretenue mais avec les parements rouges anticollision (Dayglo) plus ou moins passés selon leurs emplacements.
En parlant de choix, face aux nombreuses pièces fournies en option, il est fortement recommandé de sélectionner celles spécifiques au Zéphyr avant d’en commencer le montage proprement dit, d’autant plus que la notice comporte quelques erreurs de numérotation et de repérage. Par ailleurs, la finesse de certaines d’entre elles les rendant fragiles, il faut prendre beaucoup de soin pour les séparer de leur support.
Documentation
A mon niveau, j'ai trouvé un article clair et concis sur la carrière de l'avion dans le n° 302 de janvier 1995 du Fana de l'Aviation (il en existe aussi un dans le n° 22 de décembre 1994 de la revue Avions) ; un plan au 1/72° dans le petit fascicule Ouest-France consacré aux Fouga ; et un article sur la conversion au 1/48° du kit Koster réalisée par Jacques Niot dans le n° 113 d'août 2002 de la revue Avions. Pour la partie technique, je tiens à remercier dés à présent Jean-Pierre et Philippe (ils se reconnaîtront) pour toutes les photos de détails et les explications qu'ils m'ont fourni.
Le cockpit
J'envisageais au préalable d'utiliser le set en résine Pavla destiné au kit Heller du Magister mais à l'observation des pièces, je l'ai trouvé trop étroit, surtout les sièges. J'ai préféré l'intérieur fourni d’origine, très fidèle par ailleurs, auquel il ne manquait que les harnais et quelques câbles ici et là. J’ai refait les poignées de réglage des sièges, tellement fines et fragiles qu’il m’a été impossible de les dégrapper sans les casser. J’ai aussi fabriqué l’appuie-tête arrière, oublié par Special Hobby mais indispensable sur un avion embarqué, et l’ai fixé sur la cloison séparant l’habitacle de la plage arrière.
Le fuselage – 1ère étape
En plus des aubes et des cônes, Special Hobby fournit des pièces pour occulter les emplacements des tuyères qu’il faut peindre au préalable pour faire illusion. Attention à ne pas les inverser : la pièce 24 est pour le demi-fuselage droit. Sur les parois du cockpit, il subsiste quelques points d'éjection mal placés qu'il faut supprimer.
Il est préférable d’installer le demi-nez et le demi-rostre en maintenant le demi-fuselage droit posé bien à plat. Ainsi, la mise en place de la baignoire et des éléments du puits de train avant révèlera immédiatement les quelques espaces disponibles pour mettre du lest, et facilitera les essais à blanc pour vérifier qu’il est suffisant.
Une fois le fuselage fermé, le demi-nez et le demi-rostre gauches se mettent en place sans trop de difficultés, même si j’ai dû insérer un peu de profilé Evergreen dans le joint supérieur du nez pour conserver la continuité des lignes. Dans le même but, il vaut mieux mettre en place dés maintenant le feu à l’extrémité du nez afin de le conformer aux lignes de ce dernier. Ensuite, c’est l’observation de photos d’appareils réels qui m’a permis de rectifier les détails sur et sous le fuselage.
Premières peintures
Face au risque d’endommager toutes les petites pièces en relief devant consteller le fuselage, j’ai préféré réaliser les parements Dayglo dés à présent sur le nez, le rostre et l’empennage. Ayant trouvé plusieurs photos de Zéphyr en fin de carrière avec les zones Dayglo un peu fatiguées, je me suis dit que ce serait un exercice intéressant de tenter de reproduire cet effet (voir photos pour la méthode). Quand tout est bien sec, il ne reste plus qu’à tout protéger au ruban adhésif Tamiya patiemment découpé pour pouvoir passer à la suite des opérations.
Le fuselage – 2ème étape
J’ai choisi de traiter les entrées d’air et sorties de tuyères à part, leur installation à blanc sur le fuselage se présentant bien. Tant que j’étais dans les ajustements, je me suis occupé des minuscules vitres ovales protégeant le système de libération d’urgence de l’équipage, qui en exigent un peu. Après le travail d’installation des parties fixes de la verrière, le fuselage est fin prêt à recevoir les ailes.
La voilure
A l’intrados, il faut supprimer les fixations prévues pour l’armement, sans objet ici.
Avant d’enfermer les puits de train dans les demi-ailes, j’ai préféré les peindre (Alclad Aluminium ALC-101), ainsi que les pièces représentant les aérofreins en position rentrée (rouge AII Akan 73041), même si des décals sont fournis. Le positionnement de ces derniers demande cependant quelques ajustements pour qu’ils s’encastrent suffisamment dans leurs logements afin de venir effleurer la surface des ailes. Pour un meilleur confort lors du ponçage, j’ai préféré assembler les demi-bidons avant de fermer les ailes. Comme pour celui du nez, les feux de navigation (rouge à gauche, vert à droite) sont fixés dés à présent, pour les mêmes raisons de conformité aux courbes des bidons. Les ailes étant prêtes, la mise en croix peut être effectuée.
Le train d'atterrissage
J’ai décidé de préparer les éléments qui constituent le train d’atterrissage dés à présent car les jambes du train principal étant de la même couleur, elles s’avèrent très utiles pour poser la maquette durant les travaux de peinture de la cellule. Si Special Hobby fournit les bons éléments pour le train avant, il n’en est pas tout-à-fait de même pour le train principal dont les trappes couvrant les roues restent celles d’un Magister, fort différentes au niveau du contour et de la structure interne. J’avoue que j’ai renoncé à la correction assez lourde de ces pièces qui aurait exigé de les modifier ainsi que les puits de roues dans leur forme et leur découpe. Par contre, le fabricant ayant oublié les vérins de renfort qui courent le long des jambes de train, il faut les fabriquer tout comme le circuit de freinage.
La peinture et la décoration
Les manipulations importantes étant terminées, le moment est venu de mettre en place la foultitude de prises d’air et d’écopes, ainsi que les commandes des compensateurs des ailerons et les derniers petits bouts de scotch chromé et de ruban adhésif de masquage. Les travaux de peinture terminés, les derniers éléments sont installés (entrées d’air, sorties de tuyère et empennage), et tous les masques sont enlevés (sauf au niveau des parties transparentes). Les dernières touches de peinture se traduisent par du jaune mat (Humbrol 24) pour l’extrémité de la crosse d’appontage et pour l’antenne lame sous le fuselage, et par du noir (Gunze H77) pour la petite roulette dont le rôle consistait à empêcher la quille caudale de frotter le sol en cas de cabrage trop important.
La finition
Les décals sont très fins et très fragiles mais réagissent très bien aux produits assouplissants. Les indications de la notice sont correctes concernant les différents motifs, même si il manque quelques instructions de maintenance, mais il est bon de vérifier les emplacements sur les photos d’un véritable appareil. Après la vaporisation du vernis mat final, les derniers masques sont enlevés et on peut procéder à la pose des verrières coulissantes, du périscope, et des derniers éléments du train d’atterrissage (trappes, roues).
En sus du phare de nez, le Zéphyr est constellé de feux. Il y a bien sûr les feux de navigation aux extrémités des réservoirs (rouge à gauche, vert à droite) puis un bleu juste en arrière du cockpit, un rouge sur la petite trappe frontale du train avant, deux feux au bord de fuite des empennages (rouge à gauche, blanc à droite), et enfin deux feux blancs en forme de goutte d’eau sur et sous le fuselage (à rajouter).
Conclusion
Même si cette maquette ne s’adresse pas aux débutants, elle reste tout-de-même à la portée du plus grand nombre et permet, avec un peu de documentation, d’obtenir une jolie réplique du Zéphyr, ce qui représentait jusqu’à présent un énorme challenge (hormis pour les heureux possesseurs du kit de conversion de Model Art destiné au Magister de Heller). On ne peut que remercier Special Hobby de l’avoir ajouté à son catalogue car à mon avis, nous ne sommes pas prêts de voir au autre fabricant s’y intéresser.
01 |
Le cockpit fourni par Special Hobby est plus que suffisant à cette échelle. Pour éclaircir la base gris-noire (Gunze H77), je l’ai brossée à sec avec du gris clair (Humbrol 64) et éraillée un peu au niveau du plancher. Les bonbonnes d’oxygène sont peintes en blanc brillant (Tamiya X-2) et les boudins dorsaux des sièges en cuir clair (Humbrol 62) recouvert de Klir. Les harnais (5 points) proviennent d’une planche générique Eduard pré-peinte dédiée à la RAF. |
02 |
Les parties avant des canaux des tuyères et les aubes des compresseurs reçoivent un voile d’Alclad Airframe Aluminium (ALC-119), et les parties arrière avec les cônes de sortie de l’Alclad Jet Exhaust (ALC-113). Tous ces éléments doivent être mis en place avant d’installer le cockpit. |
03 |
Les parois du cockpit ont reçu le même traitement que la baignoire tandis que celles des demi-nez sont peintes en chamois (Xtracolor X394) ainsi que la pièce représentant le puits du train avant. Une fois tous ces éléments en place, non sans mal, on peut disposer du lest sous la baignoire et dans la partie supérieure du nez, et fermer le fuselage. |
04 |
Lors des opérations de ponçage de l’inévitable joint médian, il faut juste veiller à ne pas faire disparaître les détails présents sur les surfaces du fuselage. Néanmoins, certains doivent être repris car incorrectement représentés comme la trappe juste derrière la verrière, ou encore une petite trappe ronde figurée en relief par Special Hobby au mauvais endroit et à regraver entre les empennages. Le joint supérieur des demi-nez exige l’insertion d’un peu de carte plastique. |
05 |
A l’intrados, tous les reliefs sont à supprimer, sauf de part et d’autre de la quille ventrale. La petite antenne lame sous le cockpit doit être déplacée vers l’arrière. Le crochet de catapultage oublié par Special Hobby est taillé dans du métal blanc. Il était situé à peu près sous le siège avant. Ont été également oubliées par Special Hobby l’écope rectangulaire, mise en forme dans une fine feuille de métal, l’antenne du radio-compas et le feu ventral en forme de goutte d’eau. |
06 |
Les zones devant recevoir du Dayglo sont d’abord détourées au ruban adhésif Tamiya, en mode pochoir. Le but est d’obtenir des limites nettes entre le Dayglo et l’Alclad Aluminium qui recouvrira le reste de la cellule, tout en évitant le phénomène de chevauchement auquel les teintes Alclad sont très sensibles tant elles sont fines. Dans le même souci de protection, le fuselage est emballé dans du film alimentaire. |
07 |
Ma recette pour obtenir un Dayglo passablement fatigué est la suivante : d’abord du blanc satiné (Humbrol 130). |
08 |
Ensuite du jaune pâle brillant (Heller 9002). Ici commence le travail des nuances : plus on insistera sur le jaune, plus le Dayglo paraîtra neuf. |
09 |
Puis du Dayglo mat (Revell 25), en restant léger sur le dessus du nez, de l’arrière du fuselage et sur les panneaux supérieurs des empennages. |
10 |
Et quand tout est bien sec, je ponce progressivement au Micromesh ces mêmes zones jusqu’à ce que le Dayglo commence à s’éclaircir par endroits, les parties inférieures demeurant quasiment intactes. Elles sont ensuite masquées et le resteront jusqu’aux finitions. |
11 |
Les sorties des tuyères (pièces 72 et 73) sont peintes à part : Alclad Pale Burnt Metal (ALC-104) + Alclad Dark Aluminium (ALC-103). De même pour les entrées d’air (pièces 74 et 75) qui, après un voile d’Alclad Aluminium (ALC-101), sont tapotées avec un morceau de mousse trempé dans le Maskol puis peintes en rouge (AII Akan 73041). L’arrachage du Maskol restituera l’aspect écaillé de la peinture. |
12 |
Les 5 éléments vitrés qui constituent la canopée m’ont valu une bonne séance de découpes de masques. J’ai préféré peindre les montants en noir (Gunze H77) avant de mettre en place les parties fixes sur le fuselage. |
13 |
Avant d’installer les parties vitrées fixes, la plage arrière est posée ainsi que les réflecteurs (refaits en rhodoïd) en haut des tableaux de bord. Ensuite vient le tour du pare-brise, qui demande un peu de soin, puis celui des rails (pièces 115 et 116). L’appuie-tête avant, fait à partir d’une chute de photodécoupe et de fil métallique très fin pour l’armature, est mis en place à ce moment-là, sa hauteur étant définie par la présentation à blanc de la partie vitrée centrale. Pour finir, cette dernière et la partie arrière sont installées. Les parties coulissantes viendront au moment des finitions. Les vitres les commandes de libération de l’équipage sont en place. |
14 |
Avant de positionner les aérofreins, j’ai peint en Alclad Aluminium leurs panneaux d’accès. Ainsi, une fois peints et installés, un bout de ruban adhésif suffira pour protéger le tout. |
15 |
Les demi-ailes assemblées, leurs bords d’attaque demandent un peu de ponçage mais il faut faire attention à ne pas faire disparaître les petits spoilers anti-décrochage moulés sur leur milieu. Le tube Pitot est fabriqué à partir de la pointe d’une épingle et positionné incliné vers le bas. |
16 |
Les encoches sur les flancs du fuselage ne nécessitent que très peu d’ajustage pour que les tenons des ailes viennent s’y mettre en place correctement, presque en s’encliquetant. Il faut juste veiller à obtenir un dièdre neutre. |
17 |
Toutes les pièces du train d’atterrissage fournies par le fabricant et complétées des vérins de renfort. Les jambes du train principal ont reçu le double câblage du circuit de freinage (fin fil de cuivre). A noter que le fabricant a conçu le haut des jambes avec une inclinaison destinée à compenser l’angle formé par l’intérieur des ailes supérieures sur lesquelles elles viennent se fixer. Au niveau de la mise en couleurs, les faces internes des trappes sont peintes en Chamois (Xtracolor X394), les roues en gris-noir (Gunze H77) avec les jantes en aluminium mat (Revell 99). Les trappes du train avant, non visibles ici, ont déjà été peintes en Dayglo. |
18 |
Tous les petits détails sont en place. Les commandes des compensateurs des ailerons sont refaites en métal ainsi que les deux petites sondes en équerre juste devant le pare-brise. La touche finale sur le fuselage se traduit par la pose de la crosse d’appontage et de la petite quille ventrale. |
20 |
L’ensemble de la maquette est peint en Alclad Aluminium (ALC-101). Ici, pas de panneautage car les Zéphyr, comme tout avion marin, étaient peints et non métal naturel. Le panneau sur le dos du fuselage est blanc mat Tamiya (XF-2). |
21 |
Entrées d’air et sorties de tuyère sont en place. Le positionnement de l’empennage caractéristique du Zéphyr demande de l’attention afin que l’écartement des deux plans forme un angle de 110 degrés mais Special Hobby a bien fait les choses pour nous y aider. |
22 |
Après avoir surligné les contours des commandes de vol et mis en valeur certains panneaux avec un jus acrylique gris foncé (Gunze H333), tout est uniformisé par le passage d’un vernis mat (Gunze H20). |
23 |
Pendant les travaux de patine, j’ai dû revenir un peu sur le Dayglo du nez car la peinture s’y est mise à peler pour je ne sais quelle raison (peut-être ai-je trop insisté en essuyant le jus acrylique ?). Ne voulant pas risquer une reprise à l’aérographe à ce stade, je me suis décidé pour une accentuation de la patine au Micromesh qui finalement me satisfait moins que ce que j’avais obtenu au préalable. |
24 |
La verrière coulissante avant crée quelques difficultés pour s’intégrer correctement par-dessus la partie fixe. J’ai dû décoller cette dernière, afin de pouvoir en diminuer la hauteur par ponçage à sa base sur une surface plane, puis tout remettre en place (conclusion : à anticiper avant la peinture). Le périscope est percé de deux trous remplis de Kristal Klear pour simuler les optiques. |
25 |
L’antenne fouet est faite à partir d’une tige de fibre optique (longueur 8mm) implantée légèrement inclinée vers l’arrière sous l’aile droite. L’ajout de deux cales (photodécoupe Hi-Tech) en avant et en arrière de la roue gauche apporte une petite touche de réalisme à notre Zéphyr au parking, dont les verrières ouvertes semblent attendre le prochain moniteur avec un nouvel élève. |
Quelques légendes pouvant agrémenter les photos en situation
A |
Produit à seulement 30 exemplaires et utilisé uniquement par notre Aéronautique navale, le Fouga CM.175 Zéphyr a servi à la formation et à l'entraînement de nos pilotes marins de 1959 à 1994 et ne fut jamais remplacé, la Marine ayant décidé dés 1991 de former ses pilotes aux Etats-Unis. |
B |
Dérivé du CM.170 Magister, sa navalisation lui a conféré quelques caractéristiques propres aux avions marins comme une crosse d'appontage, des verrières coulissantes (et non basculantes), des appuie-têtes, et un train d'atterrissage allongé et renforcé. |
C |
Les renforts des empennages (identiques à l’intrados) sont réalisés en découpant des bandelettes de 1mm de large dans de l’adhésif chromé, et mises en place après peinture. |
D |
La particularité de l’empennage du Zéphyr impose un calage très précis. L’angle formé par cet "empennage papillon" doit être de 110° exactement. Sans cela, la maquette pourrait s’en retrouver presque défigurée. |
E |
Les pièces transparentes représentant les feux de navigation aux extrémités des réservoirs sont percées de l’intérieur pour y déposer une goutte de couleur (verte à droite, rouge à gauche). Une fois fixées, poncées et lustrées, une goutte de Maskol les protégera jusqu’à la fin du montage. |
F |
Le feu translucide en forme de goutte d’eau provient d’une pochette de la marque Premiere. Sa base a été peinte en noir. L’antenne plate que Special Hobby préconise de déplacer est remplacée par une chute de photodécoupe, beaucoup plus fine. Le petit feu bleu à l’arrière du cockpit est peint en Clear Blue de Tamiya (X-23). |
G |
Les détails de l’intrados avec dans l’ordre, de gauche à droite, l’antenne lame peinte en jaune, un autre feu en goutte d’eau orienté vers l’arrière (Premiere), l’écope refaite en feuille d’aluminium et l’antenne du radio-compas. |
H |
Hormis la mise en place de la verrière coulissante du poste avant, les pièces transparentes s’ajustent sans difficulté, notamment le pare-brise, une qualité peu courante pour ce type de maquette. Le fait d’avoir insérer avant peinture les vitres ovales protégeant le système de libération d’urgence de l’équipage les rend proprement affleurant aux flancs du fuselage. |
I |
Special Hobby a bien appréhendé la forme du nez et les éléments qui s’y rapportent. Il n’y a qu’à ajouter les deux minuscules vérins de rétraction de la petite trappe frontale. |
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