Maquette72
       

Dewoitine D551

France, 1940

Bidouille Modèle, 1/72

Montage Jean-Christian Houg 'JC Alpha'

Il y avait une étrange lumière ce soir là ....

Le soleil s'était couché tot ce jour là. Comme chaque jour en hiver, du reste. S'était il vraiment levé d'ailleurs... Cette faible lueur blafarde qui perçait à peine le brouillard... était ce le soleil ... L'on ne savait plus vraiment..
L'on s'était presque habitué. Du brouillard. Du brouillard, gris, froid, comme chaque jour. Encore du brouillard. Toute la journée. Saleté de brouillard.
Mais ce soir là, étrangement, le brouillard s'était levé. L'homme observa le ciel changeant et il lui sembla que par dela les nuages se morcelant peu à peu, une étoile, la bas, au loin, brillait plus fort que les autres. Comme si elle lui indiquait une direction... un cap ... une espérance..

Une ombre furtive au coin de la maison le tira de ses rêveries .. Impossible .. les loups ne sortent jamais le jour .. pourtant, il lui avait bien semblé que … non. Impossible..
Alors quil cherchait sa carabine calibre 12, une sonnerie retentit soudain. Les trompettes de Jéricho ?
Non. La porte.
Trois hommes se tenaient là, emmitouflés comme il pouvaient, semblant surgir de nulle part, et toujours ce halo étrange, comme une lumiere diffuse autour d'eux.

"Bonjour, Je suis Melchior " commença le premier, tenant sous son manteau, un petit paquet cartonné.

"Je suis Gaspard." poursuivi son compagnon.

"Et voici Balthazar, un stagiaire qui nous aide pour les fetes."

"Les rois mages ! "

"Non, c'est la poste." "Nous avons quelque chose pour vous"

A la réflexion, l'homme nota alors que la lumière diffuse sentait le gasoil et semblait provenir du pot d'échappement de la 4L garée devant chez lui. Et que l'étoile du berger se trouvait précisément au même emplacement que le réverbère du bout de la rue. Déception.....

"Quelque chose pour moi ? "

"Oui, et ca va vous plaire"

"Je sais : Cette année vous distribuez des calendrier Pirelli"

"Ah non. C'est un colis. Signez ici."

La curiosité l'emporta. Bien qu'il ne recoive habituellement que des colis piègés et des lettres de menaces, il s'acquitta des formalités d'usage auprès des mercenaires de la poste et récupera le précieux paquet.
Alors que la voiture infernale disparaissait au coin de la rue, s'en allant gazer quelques autres innocents récipiendaires de recomandés du trésor public, l'homme arracha fébrilement le papier kraft qui lui avait été adressé nominativement et découvrit alors le divin enfant.
Il était écrit, en lettres d'or. : BIDOUILLE MODEL INTERNATIONAL CORPORATION

Alléluïa. Sonnez tambours, résonnez trompettes !

Finalement, c'était bien Noël quand même .

Et ca va pas trainer :

Car le paquet n'était pas un simple paquet.

Il comportait ci devant écrit à l'encre sympathique et néanmins visible à l'oeil nu une injonction de Dieu le père lui même en personne: Maquette a monter vite.

C'est pourquoi je m'éxécute, afin d'éviter de l'être moi-même. L'impatience n'est ici, qu'un épiphénomène sans importance.

Et puisque de divin enfant il est question, et par un surprenant raccourci historique, à peine est-il né que le voici en croix. Pas de multiplication des pains ni de résurrection lazaréenne, pfffffuit, crucifié direct, sans même avoir accompagné, Barabas en zonzon. (Pffffiouuu, elle vient de loin celle ci )

La croix, certes, mais pas la bannière, puisque le décarottage s'est fait de deux petits coups de lime judicieusement placés, accompagnée de grain120 ( avec modération). Après avoir soigneusement nettoyé et rincé chaque pièce dans les eaux du Jourdain, (préalablement évaporée, transportée par voie aérienne et précipitée sur l'extrémité septentrionale du bassin versant Rhodanien, avant de cheminer dans les diverses tuyauteries menant jusqu'à l'évier de mon sous-sol, comme quoi le hasard fait bien les choses), les susdites furent collées à la colle TOM. D'habitude, je dit la colle Clément, car Clément adhère. Mais là, Tom, ça marche aussi. Si si.
Les équerres d'informaticien aident à la mise en équerre, d'ou leur nom.

J'ai préferé vérifier le bon équerrage de l'appareil, car travailler la matière divine ne va pas sans risque, et que toute erreur sur ce montage me vaudrait une séance de 45 minutes de pal chauffant torsadé, ( ou l'intégrale de Céline Dion ce qui n'est guère préférable).

Le fuselage semble très légèrement déformé à l'avant droit, mais rien de grave. D'ailleurs une critique par trop dithyrambique ne paraitrait pas sincère. Alors voilà: Comme chaque année au réveillon, il faut des bulles. Pour cette année, je vous la donne :

Pas d'inquiétude non plus ici. La macrophoto donne vaguement l'impression de voir le big hole de Kimberley, mais sachez qu'en réalité, une seule goutte de Panzer-colle l'a comblé autant que je le suis. En revanche c'est moi qui ai cassé le karman. Je me suis donc fouetté avec des ronces. Et prié Saint Joseph (un 2011, précisément. Un peu jeune, mais prometteur)

Et une autre bulette ici qui subira le même traitement

Malgré les efforts du maitre, l'ajustement nécéssitera ici un leger apport de matière.

Ce que j'ai fait avec un mastic bicomposant tres particulier, qui a pour spécificité de ne comporter qu'un seul composant, ce qui facilite le dosage et le mélange.

C'est un test et j'èspère que ca va marcher. la chose se nomme WEPAM et se vante ostensiblement sur son propre emballage,de secher à l'air libre et de devenir dure et insensible a l'eau. Toute allusion mensongère vaudra à son emetteur un aller simple pour la fosse aux lions. Quoiqu'il en soit j'ai modelé les karmans préalablement brisés avec icelle.

Vous noterez au passage ma solution à la question de la profondeur des puits de trains, et cela vous donnera un indice sur la façon dont je vais regler la question du sens de rotation de l'hélice. Oui je sais: Je suis un petit b..... bras.

Ce qui je vous l'accorde, m'empeche de prendre de la hauteur, puisque comme chacun sait, les petits bras bas sont.

Voilà voilà, il n'y a plus qu'à attendre que ça sèche, pour les siècles des siècles.

Piétinant gaiement les bonnes moeurs qui veulent que l'on finisse son assiette avant de se reservir, j'ai prétexté, devant ma propre réprobation, les inévitables travaux d'aménagement du nouvel atelier, pour remiser bien loin de ma vue tout les encours nécéssitant un quelconque travail pour les continuer, comptant sur ma mémoire défaillante pour compenser ma mauvaise conscience.

Et c'est sur une table entierement vierge que je mastiqua donc.

Alors bien sur, sur la photo, la virginité ne saute pas aux yeux, on voit plutot des copeaux et de la poussière. certes. C'est qu'il en a fallu, de la panzer-résine ! J'en ai mis une bonne couche. Du coup, y'a fallu poncer, tout ça.

Les Karmans sont sauvés. Et donc or donc, la pate magique monocomposant précitée a tenu ou presque ses engagements. Sechage à l'air libre, OK, dureté, OK, résistance à l'eau, OK. Par contre, il y a tout de même un (lèger) retrait. Mais bon, une promesse est une promesse, je ne mettrai donc dans l'arène qu'un seul lion, sur les quatres prévus.

Je ne suis quand même pas sur sur que les petit-enfants s'en sortent, sans l'aide de l'enduit magique au papy ..... faut quand même tartiner sévère sur le joint aile-fuselage. Mais la résine est saine, pas d'apparition de nouvelles bulles en ponçant, comme dans les cauchemar ukrainiens.

Allez, zou, je vais le tartiner de putty entre deux toasts, tiens.

A la faveur d'un cadeau de Noel (eh oui que voulez vous, c'est de saison comme on dit) , d'un cadeau donc de l'une de mes cheres soeurs au plus jeune de mes fils unique; cadeau composé de papier l'entourant, d'une boite le contenant et de briques de plastique le composant, d'une marque connue que l'absence de pot-de-vin ne me permet pas de citer, je suis donc récement monté dans le grenier de la maison ou j'ai passé ma désormais lointaine enfance, en vue d'exhumer un carton encore plus ancien que la plus ancienne de la maquette de mon stock pourtant mathusalémo-gargantuesque, le carbone14 atteint donc ici ses limites.

Je le confesse volontiers, ce ne fut pas tant dans l'espoir d'y retrouver quelque chose que pour fuir la pièce principale ou résonnait le désormais fatidique "tchou tchouuuuu Pssccchhhhhhhhhht Tiiiiiiiiiiiiiiit tchou tchoutchouchou " du joujou démoniaque, les briques plastiques préalablement citées s'assemblant pour former une machine satanique tournant sans fin sur des rails en huit dans un vacarme infernal.

Avec des piles neuves.

C'est pourtant de ce fait que, retrouvant donc dans un vieux carton un monceau de piècettes, non d'or, mais de plastique coloré, que j'entrevis ce que nombre d'entre vous savent déjà depuis beine des lunes, et que je décidais donc que la transmission de cet héritage à la jeune génération attendrait encore quelques années, les piecettes fossilisées trouvant désormais un nouvel usage.

Voici un montage de montage (quoi ? c'est pas un montage d'usinage, c'est donc un montage de montage), chatoyeant, , plein de gaieté et de couleur dans un hiver grisatre et brouillarifique; avouez que c'est quand meme bien agréable. Non ? Ca ne fait rien, je le garde quand même.

Bien sur la symétrie trop parfaite de la briquette suédoise fait transparaitre, ici par exemple, un leger défaut de géométrie. Ca fait mal aux yeux comme ça, mais une fois oté le référentiel de perpendiculignité, on ne voit plus rien. Donc je vais faire pareil : Rien.

J'ai poncé la garniture de nouvel an. Cela laisse apparaitre quelques microbullettes qui avaient échappé à mon oeil de lynx myope (== un oeil normal, donc. ) Mais rien de fantastique, la résine est saine (Merci Saint-Denis).

Juste un leger renfoncement sur le fuselage arrière gauche. Rien que le putty n'aplanisse.

Voila. Désormais se profile à l'horizon la redoutable phase de la verriere. Mais j'ai trouvé une excuse en or pour la procrastiner : En effet, un avion en vol nécéssitte l'adjonction d'un pilote. Déja que j'ai fait un D770 à Airbag, je ne vais pas risquer le D550 téléguidé.. J'entends déjà les quolibets vengeurs du tiers-état... A la bastille !

Et donc or donc, voilà ! Pas de pilote ! Quel dommage ! je vais etre obligé de faire une pause ..... le temps de trouver une boite généreuse de mon stock qui me fournirait un interimaire...

En attendant, j'ai fait du recrutement.

Voici OTTO :

Otto était pilote de BF109E chez matchbox, mais je l'ai débauché en lui faisant miroiter des RTT et des temps de pause comme on n'en trouve que rarement dans d'autres ateliers que le mien. C'est la recrue idéale. Pour piloter un Dewoitine, quoi de mieux qu'un pilote d'Emil , je vous le demande !

Et un peu de bleu nocturne, en passant.

Ben en parlant de hublot , ca se complique de ce coté là justement .... L'ajustement de la canopée se révèle problématique :

Je pense Gilles que la résine que tu utilises a un lèger retrait. La verriere qui elle n'en a pas, est plus large que le fuselage, du coup le collage est très compliqué. Si je force la verriere "bord à bord" avec le fuselage, elle devient bombée, évidement, ce qui n'est pas top non plus. Du coup, j'ai décidé de juste la poser, sans forcer, et de remplir le joint à la panzercollerésine, puis d'élargir le fuselage pour coller à la vèrrière.

Par contre j'ai un peu trop poncé pour rattrapper la largeur.

Bon, c'est la macro qui tue, aussi, le trou doit faire 2 ou trois dixièmes, il sera masqué par le montant et la glissière en scotch alu.

Autre suggestion, Gilles, pour tes futures productions, si tu pouvais fournir une copie en résine du master de la verrière, ca faciliterait le découpage (et ca permettrait de se refaire des verrieres soi-même, au cas ou)

Photo numero 1 : les montants de la verriere :

Photo numero 2 : le début de la base de recouvrement. Il s'agit de la couche de base, celle qui est basique, donc. le panneautage viendra en surcouche.

C'est à dire que ce n'est pas tout à fait une sous couche au sens ou on la verra encore par endroit, à aux extremités et aux bords. Enfin, je crois. Enfin, on verra.

Vous connaissez mon amour irraisonné pour le feuilletage, et il m'est venu une idée en observant un kouing aman ( en observant furtivement un kouing amann, car en ma présence, la demi période du kouing amann est réciprinversement opposée a celle du césium137, c'est à dire de décroissance exponentielle par période proche de la nanoseconde, c'est pourquoi son observation nécéssitte des conditions physique particulière) (d'autant plus qu'une exposition trop prolongée au kouing amann peut entrainer une transformation de l'estomac en supernova, d'une densité approchant alors progressivement une tonne par centimètre cube, ce qui peut se réveler néfaste à long terme) (mais c'est une aparté)

L'idée c'était ça :

On fixe avec de la colle en baton le patron de panneautage sur une feuille d'adhésif passé à la laine d'acier 000 dans un sens different du sens ou l'on a passé la laine d'acier sur la sous couche, en vue d'obtenir un "grain" different sur les panneaux.

Deuxième couche d'alu, donc,

Voila: C'est le même aluminium, mais il parait different

Rebelote , troisième couche, dans un alu un peu plus épais, grainé dans un sens encore different, le longeron, les panneaux et les trappes

Pas évident à photographier, le résultat, alors je vous ai fait un "mot compte double".

Et dix de der, le susdit, riveté et vitrifié a l'encre de calamar.

Voilà. Pas sur que ce soit tellement plus clair en fait...

Bon, c'était un test, il ya quelques petits trucs à revoir.

Et voilivoila : Les Dewoitines, c'est comme les pommes de terre, c'est meilleur dans de l'alu !

En revanche, l'étape suivante ne se fait pas sous la breizh, mais sous la seringue de 5 dixièmes pour figurer le rivetage à tête noyée (ce qui lui fait tout de même un point commun avec la Bretagne au vu des récents bulletins météorologique). (Ah ah , quelle Vannes ! )

Bref, essais de rivetage donc

Voila. Il n'y a plus qu'à sortir la roulette (Thaïlandaise, que je préfère à la russe), (Non, ca c'est la BROUETTE), (Ah, Espagnole alors , ) (Non, ca c'est la BRANL... ) , bref, la roue à dent quoi, pour riveter les petits rivets du rivetage.

Photo souvenir avant l'opération, dés fois que ...

Après rivetage,

Le gouvernail est patafixé, seulement.

Je l'ai vernimaté, pour casser le clinquant. Mais du coup , je le trouve un peu .... mat....

oui, je sais c'est intelligent ça comme remarque.... N'empêche, je me tâte à repasser un coup de klir pour redonner un peu de punch ...

Z'en pensez quoi ? Echec, le mat ?

Pour le gouvernail, j'avais bricolé ça

Et puis j'ai vu sur une des photos de Pascal que ce n'était pas écrit "Dewoitine", mais "Aérosudest", du coup je me questionne. Est-ce une photo d'après guerre ? Puis-je laisser Dewoitine sans risquer l'éxcommunication ? Mais puis-je écrire Aerosudest pour un appareil de 1940 . Ou vais-je ? Qui suis-je ? Dans quel état j'erre ?

Je regarde l'hélice aussi, il faut que je trouve un truc pour la faire en mouvement. J'ai chopé un Ta152H en train de zibber sur une étagère, soit disant "j'attend la peinture", donc je lui ai ordonné de tester une rondelle d'acétate peinte à la perceuse. (si si ) . ça fait ça.

Ou sinon , je pensait imprimer ça sur du calque transparent:

Le M, ça doit etre pour "Midi", j'imagine, comme sncaM.

Donc, je récapitule.

Il reste mat.
Je lui fait une gouverne tricolore et une hélice à la perceuse.

Et un socle.

Alors, je viens de me décider pour la déco tardive.

Pourquoi ? Parce que !

C'est quand même plus "coloré". ET puis, la cocarde attire l'oeil, qui remarque donc moins les autres et innombrables défauts. Un artifice quoi. L'arbre qui cache la foret. Une emplatre sur une jambe de bois. enfin, tout ça.

J'ai "texturé" le gouvernail. Une couche de vitrificateur passée dans un sens, vite fait avec un pinceau merdique, et une autre dans l'autre sens, toujours avec un pinceau merdique. Ca fait des trainées merdiques dans les deux sens, ca tombe bien , c'est ce que je voulais, une texture toilée quoi.

et hop, sous presse pour le séchage.

des pales "tournantes" en photodécoupe.? Oui mais non. Je n'aime pas trop l'effet de ces "propblur" en photodec. Franchement, je trouve que ça ne "rend" pas.

Alors j'ai fait un autre truc qui ne rend pas non plus.

Du coup, moi, je l'ai imprimée sur du calque : Pas glop non plus. C'est meme pire que paglop. Ca vaut pas une glopinette.

Eneffet, j'ai voiulu faire comme André m'avait dit un jour : Utiliser un vernis de bricomerlin a la place du liquid decal film (dont le prix à la microgoutelette dépasse celle de l'encre Epson, elle-même au dessus du Saint-Julien chateau Léoville Las case 1953)

Ne nous voilons pas la face : Ca a bien merdé.

André : Au secours ! Quoiquen'aije pas bien fait comme un bras (gauche) cassé ?

Bon, du coup, j'ai persisté avec le caviar liquide.

Bon, c'est pas encore ça, mais bon,

Non? En noir et blanc alors :

Franchement, à mon avis que je partage, c'est pas glop. Mais, y'a de l'idée. Je pense qu'il faut atténuer, ou même virer, les trainées noires circulaires, et renforcer les pâles floues.

Ou alors, y'a la solution peinture à la perceuse.

A voir .

Cadeau au passage :

Dans le feu de l'action, J'ai refait les ceux de positions, avec la méthode présentée dans le futur dans le fil du 770. C'est du vitrificateur gel escaliers teinté dans la masse. zou.

Un petit pas pour l'homme, un grand pas pour moi.

J'ai fini une maquette.

Eh si.

J'ai aussi fait un socle provisoire. Pour ceux qui le cherchent, c'est simple: Entre l'avion et la planche. Provisoire, parce que je n'ai pas de transparent assez épais pour l'instant. Donc ce sont deux feuilles d'acétate collées à l'arrache.

Devant il y a une hélice provisoire. Provisoire, parce qu'elle est moche. Alors, je m'arrange pour qu'on ne la voie pas trop.

Et enfin, à l'avant du pare-brise, il y a une totale absence provisoire de montant. Ca, c'est juste un oubli à la con, trop pressé de sortir prendre des photos sous ce beau soleil, qui n'arrive qu'une fois par siècle.

Mouais ... Il est pas vraiment fini quoi...

Et c'est un fait exprès. Comme disent nos amis Chinois, celui qui fait perdre la face en public à son propre maître, celui là peut se cacher au fond d'un puit jusqu'à la fin de sa misérable existence... Alors, vous voudriez que moi, jeune padawan, disciple béotien, insignifiant vermisseau, je crie à la face du monde que j'ai fini mon dewoitine avant Gilles qui l'avait pourtant commencé avant moi ?

Je m'y refuse ! C'est pourquoi je ne monterai pas ce montant de pare-brise. Ainsi le Maitre pourra terminer son Oeuvre brabifique dans la sérénité retrouvée.

Voilà donc qui clot ce chapitre bidouillomodèlistique.

Je n'ai nul besoin de faire un quelconque commentaire dithyrambique sur la facilité de montage de ce modèle. Il suffit de regarder la date de début et de fin de ce post. Et de comparer avec n'importe quel autre de mes montages, pour peu que l'on réussisse à en dater le début.

Merci à tutti de m'avoir suivi, conseillé, encouragé, supporté, tout ça, et à bientot pour de nouvelles interminables aventures !

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