Maquette72
       

Nord 5000 Harpon

France

Scratch, 1/72

Montage Jean-Christian Houg 'JC Alpha'

A la lecture du docavia sur l'aviation française de chasse et d'assaut dans les années 60 (un ouvrage remarquable !! ) , il m'a pris l'idée (la pulsion devrait-je dire .. ) de réaliser l'ensemble des concurrents du programme qui a donné naissance au mirage III, a savoir à l'époque, le "mirage 1" de Dassaut (j'ai dans mon stock celui de JP Dujin), le "trident" (j'ai le mach2 à faire ), le Durandal (déja fait), le MS1000 à la voilure façon Skyray, et donc, le Nord Harpon sujet de ce post. Il nous vient tous je pense de temps à autre de genre d'idée qui disparait après quelques jours, mais il se trouve que j'ai trouvé peu après un planche de balsa qui me restait dans un coin, et que l'expo d'Eschau approchant, je me suis dit que cela serait une saine activité de la réduire en copeau (la planche) durant ces deux jours. D'ailleurs en parlant de copeaux j'espère que mes collègues du CMS ne m'ont pas trop voué aux gémonies en nettoyant la salle, j'ai essayé de mettre le plus gros dans un sac poubelle, mais bon .. J'ai donc choisi le Nord 5000 Harpon, le MS 1000 viendra plus tard. ou pas, peu importe en fait..

Le Nord 5000 était donc un projet d'intercepteur en formule canard, d'abord monoreacteur+fusée, puis a formule biréacteur. Il n'en a jamais été réalisé vraiment qu'une maquette non motorisée, destinée à des essais de soufflerie, qui n'a volé qu'une fois et encore, attachée sous un DC3. Les projets de Nord et de Morane ont été annulés très tôt, et seuls les tridents, durandal et Mirage atteindront le stade du proto volant. Ce sera donc un "paperclip"

Première étape, donc, le plan. En partant de celui du docavia, relativement précis, scan + agrandissement + reprise sous informatique, pour avoir des traits assez fins.

Tout le problème étant de faire les "couples" à partir de la vue de face. J'ai tenté de le faire en les plaçant sur des repères facilement identifiables sur les autres vues, (l'avant des plans, les canons, la verrière, et bien sur le maitre-couple). J'admets bien volontiers l'imprécision de la méthode, mais comme je l'ai dit dans le titre, c'est sans prétentions ..

Partant de là, une fois le plan élaboré, vient la phase de réflexion. A l'aide d'une bière, il faut extrapoler du plan des volumes plus ou moins élémentaires pour composer l'avion. La bière n'est pas vraiment indispensable et pourra être remplacée par un outil équivalent.

Puis ceci fait, découper joyeusement tout ça en puzzle, et couper-coller (au sens propre cette fois) les petits confettis sur de la carte plastique. J’ai pris de la carte d'épaisseur 1, car je l'achète chez un fournisseur industriel en plaque de 2 mètres carrés. Il y a toutefois une différence importante avec l'evergreen: son prix. Mais rien en dessous du 1mm, donc. J'ai collé ça avec mon gros bâton (de colle), pour pouvoir la décoller facilement ensuite.

Pour les éléments symétriques (ici les gabarits de l'entrée d’air) je les découpe ensemble, ainsi seront-ils parfaitement jumeaux. Pas forcément justes, mais au moins, identiquement faux..

Et une fois tout ça découpé, et après avoir repéré toutes les pièces, hop, a la douche, enfin, au bain, pour décoller le papier. Et voici toutes les pièces de notre "kit"

Et en avant, recht , march, assemblons dans la joie. Tandis que les autres membres du club dilapidaient honteusement nos cotisations à la buvette, moi, l'ascète de la maquette, assemblait monastiquement mes morceaux de plasticard. Voilà pour la partie arrière. Il est peut-être possible que pendant le séchage mais vraiment pas longtemps éventuellement à l'insu de mon plein gré on m'ait forcé à venir participer à l'effort commun pour faire la peau au fut de pression mais bon, c'était uniquement sous la menace que j'ai cédé.


Une fois obtenu le squelette de l'avion, j'ai commencé le "remplissage" des volumes, à l'aide de morceaux de balsa, collés à la panzercolle. J'ai depuis découvert la mousse de prototypage rapide, qui va mieux que le balsa pour ce genre de chose, mais bon, que voulez-vous, on ne renie pas si facilement ses premières amours.. Balsa, donc. Grossièrement mis en forme.


A peine la première ébauche terminée que la sono nous invitait fort sympathiquement à tester les produits régionaux, Kougelhof et blanc de-derrière-les-fagots, tellement excellent qu'au 5eme verre j'étais obligé de cacher mon badge pour ne pas passer pour un ivrogne fini. Peine perdue j'en ai peur... Next step donc, les entrées d'air. Même technique, couple et lisses. Une vue de dessus collée sur la vue de côté, comme ça

bourrée au balsa et poncée à la forme juste (enfin, juste .. )

Deux bandelettes de plasticard 0.25 pour figurer la ligne de joint entre les volumes, bien nette.

Une vue d'arrière pour changer..

Ensuite, le poste de pilotage. Pour figurer la "baignoire", j'ai collé deux plaques de plasticard sur le couple "vue de dessus" qui figurera le plancher. la profondeur sera, d'après mes calculs (c'est à dire certainement pas), juste suffisante pour un siège Hispano MkI dont je viens de décider qu'il aurait surement sans nul doute été choisi pour équiper le Nord Harpon.

Puis , érasage desdites plaques à la hauteur de la (future) verrière, et bourrage au Putty tamya pour retrouver du volume.

Et voilà .. fin de l'expo, on remballe, on nettoie les copeaux de balsa partout, la suite à la maison.. Apres ponçage du putty pour retrouver la forme du fuselage, un petit coup de Xacto pour faire sauter la (future) verrière et découper la partie supérieure du cockpit, qui laisse apparaitre, donc, la baignoire. En parallèle, j'ai emprunté à un mirage III Heller le nez du 5BA, dont je ne me servirai jamais. J'aurais pu (du ?? .... ) tourner un cône (à ne pas confondre avec faire tourner un cône) à la miniperceuse, mais sur ce modèle-là je vais me la jouer feignant de base. Collé sur un bout de plasticard car il est 1 mm. trop court. A part ça il passe nickel.

J'ai pris aussi le siège du même mirage , puisque pour ce dernier j'avais acheté un kit High-tech IIIR , avec entre autres le nez et le siège. Il est tout pourri , mais il me servira de base. A moins que je ne sacrifie un siège Aeroclub ... Pour la partie arrière de la verrière, une technique dont je ne me lasse pas: couples et lisse. J'en ai mis plusieurs car il faudra bien garder ce profil semi-circulaire

Le nez greffé, (que dis-je le nez, le roc, la péninsule ..) Et voici l'engin tout puttyfié.. 24 heures de séchage ....

Me rendant compte que j'ai un peu trop poncé le croupion, me voilà parti pour le refaire .. On commence par un peu d'usinage lourd.. ça fait presque mal au cœur de charcuter comme ça à la disqueuse.. mais faut ce qu'il faut..

Puis on adapte les tuyères des deux réacteurs, en l'occurrence une paille récupérée au mac burger du coin..

Puis un chtio coup de putty bicomposants, on modèle, on laisse sécher, et on ponce pour récupérer la forme . En passant, la dérive a dégagé. Tant pis, on la récupérera plus tard.

Le problème du balsa est principalement sa sensibilité à l'eau. (Comme moi). Il faut donc le rendre étanche. Pour ce faire j'utilise un produit que je viens de découvrir, un vitrifiant acrylique acheté au brico du coin. Trois couches et ça laisse un dépôt de vernis résineux relativement dur, et étanche. C'est un bon préalable à une couche de mastic tamya, que j'applique dans la foulée et dans la joie :

Yapuka poncétoussa :

Et v'la un fuselage qui ressemble a quelque chose.. Perçage des diverses trappes. A l'avant tout d'abord, la trappe de train, et la trappe d'armement qui devait contenir un panier à roquettes escamotable. Escamotable certes, mais pas escamoté, soyons fou..

On aménage tout ça comme on peut, et comme on veut, à l'aide de plasticard et d'imagination..

Pour la partie arrière, je change de technique. Je découpe d'abord la trappe, en partant du plan, dans de la plaque d'alu que je mets en forme sur un cylindre de diamètre idoine. Genre barreau de chaise.

Que je colle sur le fuselage à l'emplacement non moins idoine. Ah oui, j'ai commencé aussi le recouvrement de plaques d'alu à l'emplacement des trappes, vu la forme, j'ai pas envie de m'emm... à tourner autour, je préfère découper dedans..

et je découpe autour de ladite à l'aide de ma X acto préférée. c'est un peu délicat, il ne faut pas abimer le revêtement. ni trop s'appuyer, car le balsa entre dans la catégorie des matériaux dit déformables..

voilà qui est fait .. inévitablement, dans la famille faites ce que je dis mais pas ce que je fais, je voudrais le boulet de service, j'ai mis un grand coup de XActo dans l'entrée d'air .. je n'ai plus qu'a 'inventer une trappe de visite pour cacher la preuve de mon incapacité.. Le moteur fusée d'appoint à l'arrière

Le panier à roquette escamotable tout droit sorti de mes rêves

Un truc que j'aime pas faire.. la verrière.. Premier essai, en balsa, à la poubelle, deuxième essai, en plasticard massif, à la poubelle aussi, et troisième essai, le bon, les plaques du pare-brise en plasticard collées sur un volume en balsa recouvert de papier alu, puis de mastic tam. Pour trouver la forme en développé de la bulle, je l'ai couverte de bandes de scotch tam , puis utilisé ce gabarit en scotch. enfin bref, voila:

Next.. c'est parti pour la voilure principale ! J'attaque, (signé Joffre), la voilure. Laquelle avait une épaisseur relative très faible, comme beaucoup de jets de cette époque... elle sera donc découpée dans de la plasticard de 1.5, et mise en forme au papier 400.

L'originalité de l'appareil était que les extrémités de l'aile pivotaient entièrement pour jouer le rôle des ailerons. Les volets sont gravés simplement. Une cloison se place entre les parties fixes et mobiles de la voilure. On découpe donc cela.

Il n'y a plus qu'à aluminiser les parties et à les rassembler:

Bon après faut faire l'autre aile aussi. je vous passe les détails. C’est pareil, mais symétrique. J’ai fait aussi les deux petits canards, à l'avant. (Je me suis abstenu de faire un vilain petit canard, j'ai fait tout de suite deux jolis) Ensuite vient la partie chiante. Enfin chiante je me comprends, c'est toujours un cran moins chiant qu'un discours de ministre de l’économie et des finances, mais c'est chiant quand même. Il faut refaire chaque tôle d'alu en scotch. Alors voilà. On commence par prendre un gabarit de la tôle avec du scotch TAM

On n'oublie pas de noter ou est l'avant et où est l'arrière. Ça a l'air con, hein ? ben oui , mais quand la tôle est collée à l'envers , ben on a l'air encore plus con .

On reporte le gabarit sur du scotch alu. Le scotch alu se trouve chez tous les grossistes en matériel industriel, à défaut chez un chauffagiste. Compter une vingtaine d'euros pour un gros rouleau (30 mètres celui-ci).

Puis on recolle la plaque ainsi faite, on peut appuyer légèrement avec un cylindre quelconque (un manche de pinceau dans mon cas). Je vous conseille de laisser le scotch TAM en place, il protège ainsi la surface des petites rayures que ne manquerait pas de provoquer la suite des opérations. Ensuite on passe à la plaque suivante

J'enlève le scotch sur le premier demi-avion, histoire de me motiver d'une part, et de bien appuyer sur les plaques d'autre part. Attention, une fois le scotch ôté, il ne faut pas appuyer avec un objet trop dur. Pour ma part, je fini avec un bout de Balsa qui prend la forme de la pièce.

Pour la suite, on reprotège la partie arriéré au scotch.. et on recommence ...

Cent fois sur le métier ....

....remets ...

ton ouvrage ...

La partie la plus délicate est la partie avant. Un instant j'ai pensé la peindre en noir prétextant un nez radar, mais ça ne colle pas dans l’époque.. il faut donc que je m'y colle.. (c'est le cas de le dire .. )

C'est vraiment difficile à mettre en place. finalement, mon conseil est de tracer la bissectrice du cône (ca se dit ?? ) sur le scotch Tam, et de tracer le plan de joint sur le nez de l'appareil, et d'aligner les deux. ensuite, rabaisser le cône petit à petit, en marmonnant des incantations au choix et selon vos croyances.. Personnellement j'ai pensé très fort à la petite bière qui m'attendait au frais.

Saint-Jeanlain à entendu mes prières et a intercédé en ma faveur:

TADAAA

Allez hop, au frigo ! Poc .. Pssscccchhhiiiiii Gloup gloup gloup .. Petit retour en arrière dans le temps, pour le perçage des deux canons. Rien de fantastique, foret de 1 et délicatement, cause dans le balsa ça rentre comme dans du beurre

Retour à l'époque actuelle, donc, après avoir aluminisé le fuselage, reperçage avec une épingle, et introduction, ou peut-être devrais-je dire enfilage, ou intromission, (voire entubage dans ce cas précis) , de microtube inox pour figurer le fut du canon , celui qui refroidit en un certain temps, Fernand Raynaud dixit. Bref. Diamètre 0.8. et un point de cyano. Préalablement à cela on aura pris soin de figurer les deux plaques rivetées de renfort à la bouche des canons. Pour ce faire j'ai rajouté une plaque en surépaisseur.


Par ces temps de canicule, il faut sortir les bouteilles .. de polish, et jouer au bijoutier car comme prototype, j'aimerais le faire parfaitement poli, comme j'ai vu des photos du griffon au Bourget ..

Il faut donc aussi sortir la bouteille d’huile.. de coude. . et après avoir risqué la tendinite au coude (TRÈS Dangereux ça !!!) ça donne un truc bien brillant:

Apres toute la difficulté sera et va être de conserver ce fini polishé. j'ai remarqué que si l'on tente de nettoyer ne serait-ce qu'au savon, on perd ce fini extrabrillantissime. idem avec divers vernis, vitrifiants, et même le Klir .. je pense que le polish doit laisser une couche de je ne sais pas trop quoi qui est éliminée par la couche suivante.. ) J'ai ensuite continué par coller tranquillement la dérive sur le fuselage. Deux jours de travail. (10 secondes pour coller, suivies de 47h50 d'attente)

Ensuite après quoi je me suis mis à l'aménagement intérieur, chose que je n'aime que moyennement pas trop. Je suis toujours admiratif de ceux, nombreux d'ailleurs qui passent des heures à faire des intérieurs magnifiques, pour moi sur ce point, ce sera service minimum. D'ailleurs n'ayant aucune doc, l'excuse est toute trouvée.

J'ai donc fait un siège minimum, des consoles minimales, un manche minimal, des brelages minimaux, une manette des gaz de même, un vérin d'éjection minimaliste et un palonnier inexistant. Et ma foi, une fois tous ces minimas mis ensemble, j'ai trouvé, dans un élan d'autosatisfaction, cela fort correct. surtout avec la verrière fermée .

.. verrière ... verrière.. ah m.. je savais bien qu'il me restait une pièce à faire ... Bon, ben en attendant, j'ai peindu mon intérieur :

C'est très moyen, je ne suis vraiment pas un spécialiste des intérieurs, mais bon, je considère qu'à travers la verrière, on en verra bien assez et puis, bon, ben c'est du 1/72 bref, en attendant, je me chauffe un coup les doigts. Aie . Oulah . houille houille houille comme disent les mineurs. ça brule.

Cachons ce siège moche, que je ne veux plus voir.

Et pour ne point qu'un indiscret ne découvre le poteau rose, scellons le avec moulte rubans aluminisés.

Ach, ich bin content !


Un peu haut sur patte peut être. Tiens en parlant de pattes, va falloir que je songe à lui trouver un train, de préférence pas à la section ferroviaire. J’ai pensé à un train style F104, vu l'implantation. On va cogiter. Ah, et il faut faire les joints à l'emplanture des ailes, dérives et plans canard. et polisher tout ça. eh ben , y'a encore du taff finalement. casse-tête informatique.. Déjà, je suis parti de ça:

C'est le logo de la SNCAN que j'ai trouvé chez "cocardes". Ca à l'air moche comme ça , mais c'est parce que c'est du bitmap fortement zoomé. J'ai déjà passé une longue journée à placer le plus précisément possible une mégachiée (Mégachiée, n.m, mesure équivalente à (2^20)/4 tétrachiées ) de points d'inflexion tellement nombreux que ça serait plus long à compter que le nombre de grain de sable du désert de Gobi. Enfin , peut-être pas, mais c'est l'idée. Ensuite après avoir finalement compris l'inutilité, voir la contre-productivité de cet acte, et après avoir bu un coup pour noyer mon chagrin, aussi, ) j'ai passé une tout aussi longue journée à les effacer tous un par un, ce qui est notoirement stupide, j'aurais aussi bien fait de tout recommencer. (je débute, un peu d'indulgence que diable) Apres donc avoir traité de noms abjects mon pauvre ordinateur bien innocent à l'affaire, je me suis décidé à lire quelques tutoriaux bien utiles sur le net et malgré mon obscurantisme en la matière et mon orgueil démesuré j'ai fini par comprendre et admettre que j'étais un âne bâté, avant , dans un instant de lucidité de comprendre enfin que le secret étant dans le placement judicieux d'un nombre minimal de point, suivi du réglage des deux vecteurs d'inflexion du point. Ça fait mal au crane, mais c'est vrai. Démonstration:

Une fois qu'on a compris ça, tout devient un vrai jeu d'enfant. de fait, après avoir tout dégagé, un tout petit quart d'heure m'a suffi à faire mon logo SNCAC, et crac voilà le travail:

Ce n'est pas parfait, mais ce n’est déjà pas si mal. Cela m'a rendu si joyeux que dans l'euphorie de la réussite j'ai décidé de continuer la mise en couleur de mon profil, et hop. c'est tout à fait inutile, mais ça me fait progresser dans la maitrise de la chose ..

pis c'est joli aussi.

[Avertissement: Ce profil ne repose sur aucune base historique et les lignes de structures sont purement imaginaires] [c'est juste pour m'amuser] J’ai repris les outils, donc, enfin pas longtemps, juste le temps de faire les joints, simplement en rajoutant une fine bandelette d'alu sur les petits jours entre les pièces. le raccord canards-fuselage,

de même l'emplanture d'aile

Et le pied de dérive.

Un p'tit coup de polish pour fignoler .. ça brille .... voilà, la cellule est finie, on va pouvoir passer à la déco, à la rentrée ... J'ai remarqué par hasard que si l'on polishe dans des directions différentes on obtient des reflets différents sous une certaines lumière, effet inattendu mais adopté sur la voilure dont je vous joint donc quelques photos et cette fois le tuyau est éprouvé, donc. J'en ai profité pour lui faire deux aérofreins et quelques trappes de visites sur l'aile en copiant honteusement sur un mirage III. Ouf. cette fois je n'y touche plus. je me contenterais d'un vernissage pour fixer tout ça.


Cette semaine passée un peu loin des pinceaux, dans de longues et ennuyeuses réunions... Et que fait-on lorsque l'on s'ennuie dans de longues et ennuyeuses réunions ?? la même chose que lorsque je m'ennuyais dans de long et ennuyeux cours de mathématique : on dessine des avions.. Le PC a remplacé les feuilles doubles petit carreaux, et la souris remplace le porteplume, mais l'esprit est resté Voici donc, une variation sur le thème du Harpon,



Un peu haut perché peut-être, mais il faut laisser la place pour un engin air air Nord 5103 sous le ventre.. je ne pense pas le faire mais bon, sait-on jamais après tout..

Voilà, ça commence à sentir la fin.. ça tombe bien car à force de Harpon par ci , Harpon par là, je commence à me prendre pour le capitaine Achab .. Bien … La partie construction est terminée. Peut-être un jour lui ferais-je des décals …




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