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Loire et Olivier LeO451 - Epave sous l eau

France

Heller + Scratch, 1/72

Montage Gaëtan Oddou

salut les amis, gaët is back but during pas trop longtemps because I am very trop busy (ça se prononce baisé d'après les profs d'anglais (mais il ne faut jamais écouter les profs d'anglais))

bon mais voila j'ai les crocs la...il me faut de la maquette ! après 4 montages commencés depuis l’année dernière et pas un seul fini, je préfère repartir sur du neuf. le projet : un LeO 451 crashé quelque part dans l'Atlantique...pour commencer je vous lis un passage de Cuny. on écoute bien :

" le 7 juin 1940, 2 bombardiers LeO 451 du GB I/12 (+ 8 autres d'autres GB), partent en mission sur Ham (dans la somme). les 10 avions bombardèrent sans problème les environs de Ham mais deux d’entre eux s'égarèrent au retour [...] Ses instruments de bord hors services et un équipier blessé par la FLAK, le n°3006 erra jusqu'à atteindre la côte à proximité des sables-d'Olonne. L'Équipage se décida un peu trop tard à abandonner l'avion en détresse. le Lt Colleter, le SC pilote Ajam et l'Adj radio Olivères se noyèrent en mer. le SC canonnier Richard fur l'unique survivant."

voila c'est tout ce que je sais. l'épave n'a jamais été retrouvé malgré des recherches effectuées en 2006 (des recherches dans la banque de données des épaves). en gros le zinc s'est écrasé tout seul dans l'océan à 20-30 km des côtes...donc à une assez grande profondeur (on en reparlera).

en voila un beau défi...

le texte la dessus provient du docavia n°23 sur le LeO. j’utiliserai aussi un feu Replic (montage de Philippe Verdu lui même.

j'ai trouvé la maquette sur ebay avec un lot d'épaves que le vendeur avait monté en partie...j'ai tout démonté avec de l’essence F.

l'épave sera posée sur un cadre de cette taille environ.

i vous pensez que je fais une épave pour en faire moins vous vous mettez le doigt dans l’œil jusqu'à l'artère fémorale (oui celle qui est tout en bas !). et puis d'abord je bosse déjà entre 2 et 3 h du mat car je dors très mal...bon et puis je l'ai déjà monté ce zinc la. comme c'était avant de m’inscrire sur master je vous montre le kit en question. on oubliera les marques jaunes mais on retiendra le vieillissement particulier du LeO...

en ce qui concerne ce projet, voila une esquisse commencée il y a 3 ans et finie ce matin en surveillance de bac blanc (autrement dit sur une feuille de brouillon verte et évidemment je me suis encore fait surprendre par mon proviseur adjoint !))

mon idée est de faire tout en vert foncé sauf sur les parties éclairées par les plongeurs pour voir de la couleur...

si j'y parviens alors oui Xan le résultat sera très supérieur au curtiss H75 !

PS pour Gilles Mazon : je vais faire le train mais replié et par dessus, du jamais vu ha ha

sur un plan organisationnel les figurines de plongeur seront placées de manière stratégique pour orienter le regard du spectateur de l'avant gauche vers l'arrière droit de l'appareil. comme ça :

les parties détruites de l'avion s'inspire de ce petit scénario que je trouve plausible (c'est mieux que d'imaginer l'avion détruit en morceau car la Gilles pourra me dire que j'ai plus rien à construire...)

bon alors en parlant de boulot faut s'y mettre. c'est un classique maintenant pour faire une épave : on fait des trous (à la perceuse conique) et on taille les bordures (à la scie)...

les deux côtés doivent se correspondre, faut pas se planter...

l'intérieur est entièrement poncé pour affiner toutes les bordures. aucune épaisseur ne doit apparaître après l'assemblage. le plastique Heller mesurant environ 1mm d'épaisseur, faut bien le réduire. par ailleurs un embout de perceuse à forme plate a permis d'effacer les marque Heller justement ainsi que les défauts de moulage...

et maintenant l'arme absolue : le peigne à cheveux ! c'est Alain Deligny qui m'a parlé de cet objet la première fois et puis j'en ai trouvé un par hasard à Carroufe (pour 4 euros !!)...


ça sert à tracer des couples à l'intérieur de forme complexe comme un fuselage.

et voila c'est la classe !

et bien je vois que mon peigne a fait parler de lui...moi je trouve ça plutôt pratique ! mais c'est vrai que le fuselage est gros donc ça marche bien. en ce qui concerne les cheveux je ne me peigne JAMAIS, ceux qui ont eu la malchance de me rencontrer (Gilles et Waroff la) ont pu remarquer que ma tignasse est bien trop bordélique pour qu'on puisse y faire quelque chose...c'est génétique !

merci à tous ceux qui prennent le montage en cours (mais qui commence à peine). pour les figurines stukaman de plongeurs je prend des soldats ESCI que je taille et que je complète.

en ce qui concerne le lycée, je fais comme gaston lagaffe j'amasse les copies en retard...comme ça je maquette...et puis un jour je corrige. si j'ai raté une pièce de montage juste avant de corriger alors les notes baissent, sinon elles montent. c'est comme ça les temps sont durs...

Phil j'espère le terminer tout court déjà ! mais c'est bien parti.

alors avant de montrer des photos un petit peu de doc. j'ai trouvé tout sur le net. c'est qui va inspirer la construction :

une épave terrestre de Leo, on note les parties qui morflent en premier.

des épaves en vrac. on voit que les surfaces se barrent et laissent voir l'hyper structure :

bon du coup il faut mettre un max de couples et de lisses dans le fuselage. et la j'ai du tricher un peu. waroff ne dit rien please, je sais j'ai bien tricher...voila le soucis : l'assemblage des ailes de la maquette HELLER comprend deux longerons plats qui traversent le fuselage. dans la réalité les ailes étaient fixées par des ferrures sans longerons traversant le fuselage ce qui laissait la place à la chaîne de bombes.

bref j'ai dû renoncer à la colonne de bombes (d'autant qu'elles avaient déjà été lâchées sur Ham). à la place j'ai fait un plancher qui dans la réalité n'occupait que la moitié de la largeur. (on remarque encore le n°63 que j'ai poncé après...)

pour les couples au 1/72 on ne peut pas faire parfait : des cadres à section plate et large traversée par des lisses. du coup j'ai doublé les cadres la où on pourra les voir une fois le fuselage fermé (j'ai un peu simplifié donc)

après fermeture du fuselage ces cadres seront reliés à l'autre côté...

et voila

bon j'ai pris un peu de temps mais la construction avance bien : le fuselage est fermé...

l'aménagement intérieur est fabriqué d'après le peu de doc que j'ai pu trouver. on distingue le dispositif porte bombe, les bouteilles d'oxygène, le système de chauffage avant et arrière, le siège radio basculant...à l'avant droit le poste bombardier est ébauché...je ne comprend pas comment il était installé. ce que je sais c'est qu'il y avait une lampe sur sa gauche !...le système de visée est un mystère (waroff I need help )

une peinture pour unifier tout ça (attention rien à voir avec la couleur de l'avion, ce vert est une couleur sous marine...)

 

c'est moche mais avec une patine ça va mieux...

et hop il n'y a plus qu'à fermer :

pour les concrétions il faudra attendre la fin du montage...en attendant il faut faire le gros œuvre pour pas tout casser ensuite...

donc j'attaque les ailes. mais pour commencer fermons le fuselage en faisant se correspondre les cadres...

aller c'est parti. pour faire des structures croisées j'ai utilisé la technique de la coupe à mi bois qui fonctionne bien en menuiserie mais c'est plutôt hard au 1/72...

un ponçage met tout à niveau (c'est pas affiné encore la)

de l'autre côté on ouvre tout :

ça ressemblera à ça, mais c'est qu'un début pas de panique...

la partie de plaisir commence : le train d'atterrissage avec le pneu (oui ça se conserve comme l'a dit philippe) vue par dessus. il faut donc comprendre comment ce punaise de train se repli...

le pneu heller est trop fin. il faut l'élargir, pas de soucis j'ai l'habitude...

des petits reliefs comme en vrai :

maintenant il faut tout rentrer la :

 

l'intérieur des ailes est prêt pour l'assemblage final.

c'est fait ça aussi !

et voila fin du gros œuvre, on va pouvoir s'exciter sur le détaillage...

j'ai pas mal avancé ce week end mais je me suis rendu compte qu'en allant trop vite j'ai fait des boulettes...deux pas en avant - trois pas en arrière sans compter les problèmes de manche : la manche de mon pull a tout accroché et "hop les montants de la verrière" ! bon j'en suis à peu près la en tout cas :

la dérive arrière gauche en tube fut un moment d'anthologie que je vous laisse imaginer...

a peinture me sert ici à voir le travail et éliminer les défauts grossiers (grâce à son épaisseur). elle ne se verra plus ensuite bien sûr (tant mieux parce qu'elle est moche)...

ah ouais ? ça aurait été plus simple pour moi...bon je verrai ça plus tard...en attendant le canon...

le canon HS404 Heller ressemble plus à train d'atterrissage de boeing 747 qu'à un tube de canon ! je l'ai coupé un peu :

puis très beaucoup finalement parce que ça ressemblait pas au photo !!!

le plan fixe est recouvert de feuille d'alu froissée imitant une toile transformée en concrétion sous marine (si ça existe regardez dans pirate des caraïbes les voiles du Hollandais volant ! alors j'ai pas raison ?)...

j'ai bien bossé la semaine dernière mais je vais tout mettre d'un coup. on commence par le moulage du moteur...pfff, j'ai suivi les conseils de l'ami Régis Binder. lui il réussit en faisant tout au pif, mais je ne dois pas avoir le même pif (oui je sais j'ai un grand pif) parce que j'ai tout loupé. sauf que finalement c'est exactement ce que je voulais. voici les faits...

je place au sein d'un volume cubique le moteur d'origine (engine and things GR14N). je coule du silicone pascal Rosier avec un peu de catalyseur. les pics verticaux en bois sont des pions de centrage du moule...

deux jours plus tard (et oui j'ai pas mis assez de catalyseur, vous voyez que j'ai pas un si grand pif) c'est à peu près sec...

c'est plein de bulles, c'est nase (j'ai pas assez laissé degazer le silicone...). oui mais voila, le résultat en résine est top moumoute : c'est un moteur en ruine, c'est PARFAIT

fantastique...(c'est mon premier tirage en résine et franchement j'ai trouvé ça cool même si je me suis complétement planté en fait)...

pour fabriquer des cylindres en ruine à rajouter sur le sol j'ai récupéré tous les résidus de perçage :

il ne faut rien jeter !

bon revenons à l'avion. l'hélice droite est complétée puis les ailes sont couvertes partiellement d'alu ménager (l'alu autocollant est trop épais je trouve) :

remarquez la porte ouverte comme une invitation à rentrer dans l'épave...pas très rélaiste mais l'effet devrait marcher à la fin je pense (et vous avec vu : elle tient sur deux gonds en mini fils de cuivre)

pour ce qui est du moulage c'est clair vous avez raison : il faut badigeonner le truc avant. et puis aussi laisser bien dégazer quelques minutes avant de couler. et puis aussi mettre plus de catalyseur (5% d'après pascal rosier mais à mon avis plus : 10% (mais bon 10% d'un pâté de silicone coulant ça fait quoi ? un petit tas ? je comprends mieux la fraude fiscale, quand y a beaucoup de blé on se rend pas bien compte des petits pourcentages...))

pour la résine il faut bien mélanger le catalyseur avec la résine avant d'injecter. mais le plus important c'est de faire son propre master (ça me trotte dans la tête ça...).

au sujet des hélices, Griffe l'avion est tombé tout seul à court de carburant : elle ne tournait pas, donc je ne pense pas qu'elle soit trop tordue. c'est ce que je me suis dit en tout cas...sur certain,es photos d'épaves les hélices sont parfois droite ! mais le plus souvent elles ont été emportés par des chasseurs d'épaves...(il faut dire que ça rend bien dans un salon !)

bon allons y pour le bloc moteur gauche...

on place une cloison pare feu (qui m'a l'air de faire des escaliers sur les photos) et on rajoute des câbles (j'en rajouterai plein à la fin du montage mais la on commence doucement)

puis deux anneaux circulaires reliés par des tiges métalliques (les tiges blanches proviennent de Chris-Thib qui m'en a donné un wagon, c'est fin souple et solide à la fois, nickel)

un anneau plat est rajouté avec du scotch alu collant :

mais c'est pas fini, cet ensemble est peint en vert pour le rendre plus homogène et solide (on ne le voit presque plus la). puis on pose le moteur et on fixe des échappements (pas tous, ceux qui manquent seront par terre)

une petite hélice (une difficulté la c'est de la mettre au même niveau que celle du moteur droit, sans repère c'est pas si simple en fait)

voila on y est presque pour le montage conventionnel entre guillemets...

à gauche du bloc moteur on distingue un radiateur en forme de rectangle (on le voit sur toutes les photos de l'avion...)

voila mon idée : faire un petit relief en plaques de lièges pour creuser l'emplacement de l'avion :

ensuite je badigeonne de crépis rustique (avec du grain) et je colle des algues. mais la je m'arrête parce que ça me plais pas trop. AMIS plongeurs (altesse, pierre, elorza) à quoi ça ressemble un fond marin à 25 m (oui altesse pas plus bas promis ) ? mon record de plongée pour l'instant c'est les 3m80 de la piscine municipale...et j'ai pas vu d'algue parce que je ne peux pas ouvrir les yeux sous l'eau (par contre j'ai senti des trucs mous sous l'eau baaaah)...

bon reprenons tout ça dans l'ordre...avant de faire des finitions et des patines il faut s'occuper de la cocarde...mmh pas avec un décal ! je vais la peindre ! au 1/72...oui oui. avec ça :

et voila un hinomaru :

puis une cocarde tricolore, allons enfants de la patriiieuh :

c'est pas nickel mais ça n'a aucune importance c'est prévu...des traces au crayon pastel font un peu de bruit sur tout ça...(punaise le bord d'attaque est pas net mais ça aussi c'est pas grave c'est prévu)

on recouvre de gris jusqu'au moment où il faut s'arrêter...(et ça je sais pas quand c'est hélas !)

ensuite on protège les vitrages...seul possibilité : le maskol (sur les phares aussi)

et puis ensuite on protège la cocarde qui doit rester visible (ainsi que la dérive arrière pour lire le n° de l'avion) :

et la ça commence : du mastic partout et des algues (fabriquées avec des chutes de ponçage)

voila comment cacher les problèmes de collage, un peu de mastic et hop...enfin beaucoup de mastic !

merci Michel, pourtant c'est moche et ça a l'air trop chargé, mais en fait pas du tout c'est le contraire y en n'a pas assez...je rajoute du sable hyper fin (obtenu par tamisage).

alors puisque vous voulez le voir en peinture...alors attention ça arrive !

 

un petit zoom avec un appareil photo un peu plus classe que mon vieux lumix en fin de vie...

ouh bin ça fait du bien d'en être la pas vrai ? je commençai à en avoir marre de ne plus savoir où j'allais...(c'est mon côté JS Bach qui se surimpose parfois à la touche Trénet !)

quelques détails :

le vitrage bien mat :

le bloc moteur bien corrodé (mais pas encore en couleur)

.remarquez l'effet de l'alu : ça fait tôle mais les raccords avec le platsique ont disparu comme je le voulais...

c'est pas encore fini...il faut mettre des couleurs dans tout ça !

commençons par la cocarde. je ne vais pas en faire un Roman, mais le but du jeu ici était de la faire presque disparaître sous la peinture. on doit la deviner sans vraiment la voir...

petits encroutements par dessus

puis peinture

mise en couleur du moteur gauche :

voila j'en suis la...

 

bon le dio...c'était pas simple parce que pour que l'épave ressorte il faut lui donner de la lumière et jouer sur les contrastes...OUI MAIS pour le faire il faut coller l'épave sur le socle et peindre ensuite...naaan j'ai trop peur

bon aller quand faut y aller...faut y aller !

j'ai remis une tonne de sable fin sur le crépis pusi j'ai recrépis le centre...enfin j'ai fait un truc un peu bordélique mais pas trop...c'est dur de faire des trucs pas contrôlés pour des gars comme nous !

le machin rond la est mon premier tirage résine du moteur complétement loupé : ça le fait trop ! je réussi tout ce que je loupe décidément...

et puis je pause l'engin la dessus...


ça fait un gros espace entre l'avion et le socle...une lacune à combler...pfff

pour boucher le trou il faut crépir...sans trembler.

en fait si j'ai tremblé mais c'est pas grave, c'est loupé donc c'est bon (si vous me suivez)...

et c'est la que tout ce joue : peindre ce joint d'une couleur sable clair...avec des effets de moiré dans l'eau...ça le fait non ?

vue de haut on voit bien l'avion accrocher la lumière...enfin je crois.

et maintenant la touche finale : les plongeurs...j'en n'ai pas évidemment. donc je transforme des vieux soldats de la guerre de sécession. ça tombe bien c'est plus la mode. les zoulours et les grognards non plus. aller venez la les gars vous aller avoir droit à de la boucherie esthétique, genre moyen âgeuse à la bougie et au scalpel...
non mais regardez moi le jonny rebs la : il fait quoi dans cette position ? on dirait qu'il imite une banane...c'est vraiment n'importe quoi !

on peinturlure et ça ressemble à des hommes grenouilles :

les palmes rouges c'est pour faire comme sur les photos de pierre...mais en fait ça va pas le faire : ça tranche trop...

les photos finish...

mais avant un petit point sur la photo justement. quel appareil pour la maquette ? il existe pour faire simple (et sans aller dans l'hyper haut de gamme) 5 types d'appareil photo numérique : le compact (je prend la photo avec donc on le voit pas dessus), le bridge, l'hybride, le réflexe à petit capteur, et le réflexe plein format (de gauche à droite).

pour les photos de montage j'utilise uniquement mon petit bridge : il est léger, capable de faire de la bonne macro (optique Leica (ouvre à f2.8 ) par contre il est mauvais en couleur et nase quand la lumière baisse (même à f2.8 ). pour les photos finish j'utilise le petit réflexe canon (EOS 450D ici). super couleur, pas de soucis avec la basse lumière. par contre il est lourd donc il faut un pied et une télécommande pour pas bouger du tout...exceptionnellement pour ce montage j'ai sorti le gros canon 5d markII. le capteur est de grand taille donc la qualité est exceptionnelle et on peut bien jouer sur la profondeur de champ, sauf qu'en maquette cette qualité est nuisible : il faut fermer le diaphragme (f22) et agrandir au max la profondeur de champ (à l'extrême inverse on pourrait faire net sur la tête d'un plongeur et tout le reste flou...mais ça va pas vous plaire ça...)...un dernier détail, à f.22 (diaph presque fermé) il faut ralentir la vitesse et donc il faut un pied et une télécommande ou bien déclencher au retardateur...

et puis il y a l'éclairage...pour pas cher on peut s'équiper sur internet avec une boîte à lumière ou bien des parapluies tout bête comme on le voit ici (dans ma chambre)

avec deux éclairages et des parois blanches (réflecteurs) on évite les ombres. on obtient le même résultat avec la lumière du jour mais sans soleil direct évidemment (lumière diffuse)

premier exemple : deux photos prises de loin (pour éviter les déformations) et avec une lumière du jour diffuse...c'est pas mal mais ça manque de pêche.

c'est parfait pour un petit trucage numérique : une ambiance sous marine...amis plongeurs qu'en pensez-vous ?

et maintenant avec un éclairage intérieur (deux ampoules à 5500 K) :

des petits monochromes pour finir

voila une photo qui prouve qu'un plongeur peut éclairer une cocarde à distance (même si ici c'est une croix) :

le plongeur qui éclaire la cocarde c'est celui qui est accroché au canon...on ne peut pas le louper !

 

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