Transporter Allianz C-160 Transall, Heller, 1/72
Le C-160 Transall résulte d’un programme commun entre l’Allemagne fédérale et la France, pour développer et construire un avion de transport militaire à moyen rayon d’action. parmi les sociétés impliquées, citons Nord Aviation et VFW Bremen.
Le C-160 fit son premier vol le 25 Février 1963. Il possédait des caractéristiques ADAC (Atterrissage et Décollage courts ) sur des pistes sommairement aménagées sans revêtement dur.
Envergure = 40,00 m. Longueur = 32,40m. Hauteur = 11,65 m.
Moteurs = 2 turbopropulseurs Rolls-Royce Tyne Mk.22 de 6100 ch entraient des hélices de 5,20 m de diamètre.
Vitesse maximale = 510 km/h. Plafond pratique = 8200M
La version initiale fut fabriquée à 160 exemplaires, certains Transall allemands étant vendus à la Turquie, et une petite quantité affectée à un usage civil en France (La Poste) et en Indonésie.
En 1982, une nouvelle série de 25 appareils C-160 NG fut assemblée à l’usine Aérospatiale de Toulouse pour l’Armée de l’Air, la différence la plus visible étant une perche de ravitaillement en vol.
Le modèle Heller référence 80353 est un modèle « Bobkit » à assemblage simplifié qui avait été commencé par mon collègue Didier qui avait entrepris de détailler notamment la nacelle gauche (prises d’air, échappement), ainsi que la gravure du fuselage et des ailes reprise en creux. J’ai tenté de reproduire son travail sur la nacelle droite, avec moins de dextérité que lui toutefois.
Le modèle étant destiné à être exposé dans une vitrine de 39 m de profondeur intérieure, je me suis résolu à figurer une scène imaginaire mais possible, car l’aile du Transall peut être démontée entièrement après dépose du carénage voilure-fuselage et de certains systèmes, grâce à des liaisons locales à base de carpes et de bielles démontables. Une documentation personnelle, m’a permis de récréer au mieux en scratch la partie supérieure du fuselage débarrassé des carénages mais présentant les ferrures de liaison lui étant rattachées. Quant à la voilure, je l’ai placée sur un bête de maintenance imaginaire, avec quelques figurines de mécaniciens issus de boîtes Airfix, Hasegawa ou Preiser, pour donner l’échelle.
La décoration est celle de la boîte avec les grandes cocardes en place à l’entrée en service.
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