Ce modèle est en résine, métal blanc avec une verrière thermo-formée. Les ajustements ne sont pas précis.
J ’ai commencé par percer des séries de trous par l ’intérieur dans l ’arrière de chaque demi-fuselage afin d ’en réduire un peu la masse. Pour l ’avant, j ’ai fait de même, reliant ensuite les trous en sculptant le plastique tendre au scalpel, puis avec des limes coudées, afin de réaliser un logement pour du plomb. Tout ceci est vraiment nécessaire pour que l ’avion reste sur ses 3 trains.
J ’ai renforcé les ailes et les empennages par des tiges métalliques avant le collage sur chant contre le fuselage au préalable farci de plomb dans le nez. Il y a eu ensuite pas mal de mastic et de ponçage.
J ’ai découpé la verrière progressivement, mais au final, j ’ai trop enlevé de rhodoïd. En outre, les arceaux sont mal positionnés par rapport aux sièges, et il m ’a fallu réaliser un poinçon en bois et refaire des verrières thermo-formées, les arceaux étant réalisés par du décal vierge peint.
Je n’ai pas su réaliser le bonne forme du pare-brise , il est en réalité bombé et vient « intercepter » le dessus du capot, également convexe. Il m’aurait fallu un poinçon reproduisant cette intersection de surfaces convexes et une machine à dépression. Mon poinçon ne m’a permis que de faire une forme plus plate à l’avant, afin de se raccorder « directement » à la forme du capot.
Après moult essais d’étirage à chaud avec une contre-forme en carton épais (calendrier), j’ai pu obtenir deux transparents à peu près acceptables, mais très fins à la base et délicats à fixer à le colle à bois.
Ayant deux modèles, j ’en ai décoré un aux couleurs de l ’Escadrille d ’entraînement 315, et l ’autre aux couleurs d ’un avion de la patrouille « Cartouche Doré ». Les décals sont fins et peuvent se repositionner au mieux après un placement initial ce fut nécessaire pour les filets jaunes.
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