Grumman F-14 A Tomcat, Hasegawa, 1/72
Après un premier vol le 21/12/1970, cet avion d’exception est resté en service jusqu’en 2007 dans l’U.S. Navy. Envergure maxi = 19,54 m, longueur = 18,90 m, hauteur = 4,86 m. masse maximale =24950 kg. Deux moteurs Pratt & Whitney TF30-P-412 de 4763 daN de poussée (9480 daN avec P.C.). Mach maxi = 2,34 à 12200 m. Armement = 1 canon Vulcan M61A1 de 20 mm.
La maquette de ce matou référence K39 d’Hasegawa est bien détaillée et comporte même une planche de photo-découpe. Achetée sur une bourse d’échange, j’avais en bonus deux sièges en résine que je garde pur le prochain Tomcat, ceux de la boîte pouvant être équipés de poignées d’éjection en photo-découpe. J’y ai ajouté des harnais en feuille de plomb. La voilure n’est pas mobile, mais peut être construite repliée en flèche de 75° ou bien en flèche minimale avec becs et volets braqués. J’ai choisi une position « maintenance » avec becs, volets, aérofreins, verrière et escalier ouverts. Deux trains avant sont fournis dont un en position de catapultage, mis de côté aussi pour le prochain. En bref une maquette de grande qualité qui nécessite toutefois du masticage entre le fuselage avant et le fuselage central. Le chant des trappes de train est rouge, que j’ai obtenu en passant un gros feutre indélébile sur ladite tranche. La planche de décals propose 4 décorations du « Wolf Pack », j’ai choisi celle qui m’évitait de redécouper la pointe arrière du fuselage. Je n’ai pas installé les divers supports de missiles afin de préserver une certaine pureté aérodynamique.
Boeing B-17 D Flying Fortress, Academy, 1/72
Jusqu’au modèle D, le B-17 se caractérisait par une dérive sans onglet, et un armement défensif minimal, les armes de sabord tant alimentées par des boîtes de cartouches directement fixées sur elles. Et elles portaient à l’intrados les grands marquages « U.S. Army » puisque l’U.S.A.F. n’existait pas encore en tant que force indépendante.
La maquette Academy comporte un intérieur suffisamment détaillé pour l’échelle, j’ai tout de même ajouté des harnais en feuille de plomb (en fait seulement des ceintures ventrales si j’en crois les dessins de la monographie de Squadron Signal), et tenté de reproduire les manettes de gaz caractéristiques en forme de « F » imbriqués qui permettaient d’en saisir 2 ou 4. Le camouflage « olive drab » et « neutral grey » (tel que le dessin du box art, la notice préconisant le noir) est seulement égayé par le grand drapeau américain de la dérive.
Handley Page Halifax B Mk II / GR.II, Revell, 1/72
Moins célèbre que le Lancaster, le Halifax fut cependant un des piliers du Bomber Command britannique. Les premières versions Mk. I et II était mues par des moteurs en V Rolls Royce Merlin X de 1130 hp (Mk.I) ou 1220 hp (Mk.II). Les suivantes (Mk.III) avaient des moteurs en étoile (j’avais déjà monté une vieille maquette Airfix de Mk.III). Entré en service en 1941, il acheva sa carrière dans le Coastal Command en 1952. Pouvant transporter près de 6000 kg de bombes (deux fois plus qu’un B-17), il avait une vitesse maximale de 420 km/h. Envergure = 30,05 m, longueur = 21,24 m, hauteur = 6,50 m. Armement défensif = 8 mitrailleuse Browning de 0,303 inch (7,7 mm).
Cette maquette Revell est une ré-édition d’un modèle Matchbox, et propose les fuselages avant et les empennages pour réaliser 3 versions, Mk.I Mk.II , GR.II. Je tenais à réaliser un appareil qui fit partit d’un raid de 360 appareils sur l’usine Dunlop de ma ville natale (Montluçon, Allier) le 15 Septembre 1943. Ce ZAoL, HR920 fut abattu à l’aller dans la région de Cabourg et n’atteignit donc pas son objectif. Tout l’équipage fut tué, et ironie du sort, deux de ses membres, le pilote et le navigateur, se nommaient Dunlop . Selon l’ouvrage « Objectif Dunlop » d’un auteur local, Mr Claude Grimaud, qui fit une étude poussée auprès des archives de la RAF, cet appareil Halifax II « L-London » faisait partie du 10 Squadron. Voici pour la petite histoire au sein de la grande et tragique histoire de l’Europe.
J’ai aménagé l’intérieur du cockpit en scratch, à partir de dessins de Squadron Signal, sinon, c’est « from the Matchbox box ». Le profil en noir paru dans objectif Dunlop suggère une ligne de séparation du camouflage supérieur et des flancs noirs en alignement avec les vitres latérales du cockpit, ce que j’ai suivi. Il semble cependant selon les profils couleurs consultés sur d’autres documents, que cette limite se situait un peu plus haut. Dont acte…
Republic F-84 G Thunderjet, Tamiya, 1/72
Dernière version à aile droite du F-84 dont le prototype fit son premier vol en février 1946, établissant alors n nouveau record de vitesse de 978 km/h, la version G apparut en 1961, propulsée par un réacteur Allison J35A-29, dotée de réservoir externes à capacité accrue, et capable de porter 2 tonnes de charge externe dont la bombe atomique. Son autonomie était de 3600 km et il était ravitaillable en vol Il participa à la guerre de Corée à partir de 1952, effectuant principalement des missions d’attaque au sol.
La maquette Tamiya comporte un cockpit bien détaillé, s’assemble sans mastic, les trappes de train sont munies de leurs charnière « col de cygne » assez fragiles. Attention à bien vérifier la symétrie de placement de la case de train qui supporte la case d’armement par un montage à blanc du second demi-fuselage ! Pour ma part, je me suis rendu compte d’une asymétrie empêchant le montage du capot supérieur quand tout était peint, et j’ai du scier la pointe avant en avant du pare-brise, la re-démonter et recommencer, c’est alors seulement qu’il m’a fallu mastiquer, poncer…
Deux décorations sont proposées concernant un appareil du 508th SFW, FS-271 basé à Turner AFB en 1956avec une grande flèche blanche bordée de bleu et cet FS-454 « Four Queens » (un nose art représentant 4 cartes à jouer) du 58th FBS basé à Taegu en 1952.
DFS-194, PM model (Pioneer), 1/72
Le DFS-194 fut conçu par le Dr Alexander M.Lippisch comme avion expérimental propulsée par une fusée Walter R I-203 qui développait une poussée d’environ 400 daN . En Janvier 1939, Lippisch et son équipe furent transférés chez Messerschmitt, emportant leur projet avec eux. Le DFS-194 fit son premier vol au début de 1940, atteignant 550 km/h. e premier succès conduisit au développement du Messerschmitt Me-163 Komet. Envergure = 10,40 m, longueur = 6,40 m, Hauteur = 2,15 m.
La maquette PM, très simple, fournit la réplique de l’appareil testé à Peenemünde en 1940, il est entièrement de couleur ocre, sauf le patin d’atterrissage et la béquille de queue. Un petit essieu de transport et de décollage est fourni. La verrière est très fine.
De Havilland Canada DHC-2 Beaver, Hobbycraft, 1/72
Le prototype du beaver fit son premier vol le 16 Août 1947, et le dernier sortit de chaine en 1968, c’était un Turbo-Beaver. Au total, 1692 avions ont été construits, en 3 versions. L’armée américaine en acheta 800, désignés U-6A / L-20. Ils furent utilisés en Corée pour le ravitaillement des troupes, la photographie aérienne, le transport, les évacuations sanitaires, le bombardement léger, la pose de câbles et l’appui de l’infanterie. En version civile, il constitue le meilleur avion de brousse jamais construit et fut reconnu en 1987 comme l’une des 10 plus importantes réalisations d’ingénierie au Canada.
La maquette Hobbycraft comporte deux demi-fuselages entièrement transparents, une astuce qui évite la tâche délicate de collage des verrières, la remplaçant par un masquage avant peinture et garantissant une bonne continuité des surfaces. J’ai eu pour ma part un décollement du toit de fuselage au-dessus du cockpit, assorti d’un décalage en hauteur nécessitant masticage ponçage, etc…en trois fois, le tout sur un avion entièrement peint et décoré bien évidemment.
Hobbycraft propose deux décorations, un appareil de l’U.S.Army entièrement « olive drab » et ce DHC-2 de la RAAF entièrement blanc avec capot moteur noir mat.
Bristol Beaufighter Mk. X, Hasegawa, 1/72
Descendant direct du bombardier torpilleur Bristol Beaufort, le Beaufighter fut produit en différentes versions, Mk.I avec radar d’interception, Mk.If chasseur de nuit, Mk.Ic pour le Coastal Command, avec moteurs Bristol Hercules, Mk.II avec moteurs Rolls Royce Merlin 20. Apparu en 1942, le Mk. VI reçut des moteurs Hercules plus puissants, une capacité en carburant accrue et une mitrailleuse de défense de 7,7 mm au poste du navigateur. Le Mk. VI f chasseur de nuit doté d’un armement lourd fut également très performant comme escorteur de convois à long rayon d’action. Le Mk.X fut spécialement conçu pour la lutte anti-navires L’emport d’une torpille nécessita l’ajout d’un onglet de dérive. Envergure = 17,64 m, longueur = 12,71 m, hauteur = 4,83 m. Masse maximale = 11 441 kg. Mœurs Hercules XVII de 1735 hp. Vitesse maxi = 531 km/h, autonomie = 2367 km. Armement fixe = 4 canons de 20 mm (versions de chasse) et 1 mitrailleuse de 7,7 mm. Torpille sous fuselage ou 8 roquettes sous voilure.
La maquette Hasegawa référence CP14 est très détaillée et propose des pièces pour réaliser soit un Mk.X à nez radar long et avec onglet de dérive du 254th Squadron RAF Coastal Command, soit cet appareil du 455th Squadron RAAF au nez court et sans onglet de dérive malgré l’emport d’une torpille. J’ai aménagé un peu l’intérieur des postes de l’équipage en m’inspirant des articles de revues maquettistes, mais on voit peu de chose à cette échelle. La verrière avant, très fine, s’ajuste parfaitement et tient en place sans colle.
De Havilland Mosquito Mk.II, Airfix, 1/72
On ne présente plus la célèbre « merveille en bois ». La version de chasse de nuit NF.II fut construite en 466 exemplaires, équipées du radar A.I. Mk.IV. Propulsé par 2 moteurs Rolls Royce Merlin XII de 1230 hp, il atteignait plus de 610 km/h à 4000 m d’altitude. Envergure = 16,52 m, longueur = 13,57 m, Hauteur = 5,30 m.
La maquette Airfix référence 03019, assez ancienne, permet de réaliser au choix un Mk.II du 23 Sqn RAF « YPoR », un Mk.VI de la RAAF « BoNA » ou un Mk.XVIII des 248 et 254 Sqn RAF « DoQM ». L’avion étant très lisse en réalité, il n’y a aucun besoin de gravure sur le fuselage, un peu de masticage est nécessaire en avant de la dérive (défaut de moulage local). J’ai aménagé un peu le cockpit en scratch, et ajouté des roues en résine à pneus aplatis.
Letov S.231, K.P., 1/72
Le S-231.1 (désigné à l’origine S-31A) fit son premier vol le 17 Mars 1933. Lors d’essais de vol en piqué, le prototype s’écrasa, tuant le pilote R.Cernin. Il fut établi que l’accident était dû à un manque de rigidité de la cellule, et non pas à un manque de résistance qui avait été testée au sol avec succès. Le second prototype vola intensément en 1934, l’appareil fut commandé en série et entra en service aux escadrilles 35 et 36 du 2 Régiment Aérien.
Il étai propulsé par un moteur à 9 cylindres en étoile Walter Mercury V-S2 de 412 kW (560 hp), (licence Bristol) refroidi par air, placé à l’intérieur d’un anneau Townend. Le carburant utilisé était un mélange de benzine, benzol et alcool. Il était armé de 4 mitrailleuses Strakonice MG.30 de 7,92 mm, 2 sur le fuselage, et deux dans les ailes inférieures, alimentées chacune par 300 cartouches. Il pouvait aussi emporte 6 bombes légères sous voilure.
La maquette K.P. comporte des pièces fines, il faut ajouter les haubans (ici du fil de nylon de 0,065 mm). Deux décorations ont proposées, un avion tchécoslovaque et cet appareil des Républicains Espagnols.
Fieseler Fi 156 Storch, SMER/Heller, 1/72
Le Storch (cigogne) était capable de décollages et d’atterrissages courts grâce à des becs fixes de brd d’attaque et des volets à fente. Conçu en 1935, il fut présenté pour la première fois dans une compétition à Zürich en 1937. Il fut construit également en Tchécoslovaquie et en France, pendant et après la guerre comme K-65 Cap en Tchécoslovaquie et Morane-Saulnier MS-500 Criquet en France.Moteur Argus As10C à 8 cylindres en V inversé de 178 kW (240 hp), hélice en bois à pas fixe. Envergure 14,35 m, largeur avec ailes repliées = 3,85 m, longueur = 9,90 m, hauteur = 3,05 m. Surface alaire = 26 m2 . masse maxi au décollage = 1485 kg. Masse à l’atterrissage = 970 kg. Vitesse maxi = 210 km/h, croisière = 160 km/h, vitesse minimale = 52 km/h, vitesse d’atterrissage = 41 km/h. plafond opérationnel = 4600 m, autonomie maxi = 400 km. Vitesse de montée = 4,6 m/s.
La maquette SMER est une reprise du moule Heller, complétée d’une planche de photo-découpe, in fine peu utile, les palonniers par exemple étant invisibles sur l’avion fini. Elle est accompagnée d’une belle planche de décals qui offre 3 versions, un Fi 156 C-1 du Wüstennot Staffel en Afrique en 1941, un Fi 156 C Grünherz en Russie en 1942 et un MS-500 Criquet à moteur Argus du GR 3/33 Périgord en 1944/1945, porteur des bandes de débarquement fournies en décals. J’ai préféré les peindre en posant des masques en bande cache (blanc à l’aérographe, puis noir au pinceau. Le résultat final présente des limites moins nettes, mais à cette époque beaucoup de ces bandes furent peintes « à main levée », j’espère que ce fut le cas ici.
Waco CG-4A Hadrian , Italeri, 1/72
Ce planeur conçu pour l’armée américaine fut aussi utilisé par les britanniques. Il entra en service en 1942. Plus de 12 000 exemplaires furent fabriqués. Il fit preuve d’une grande flexibilité d’emploi. Sa structure était en tubes métalliques et bois avec revêtement en toile d’un entretien assez facile. Il pouvait transporter 15 hommes équipés en plus des 2 pilotes, ou bien l’équivalent en poids (Jeep, canon anti-char, mortiers, etc…). Envergure = 25,50 m, longueur = 14,73 m, masse à vide = 1680 kg, masse en charge = 3400 kg. Vitesse de remorquage = 240 km/h, vitesse en vol plané = 195 km/h.
La maquette Italeri est assez détaillée, notamment quant à son aménagement intérieur (sièges). L’assemblage du fuselage n’est pas très aisé avec le plancher collé d’un côté, et supportant les sièges, et les sièges « dans le vide du côté opposé. J’ai dû pas mal mastiquer le plan de joint du fuselage, notamment en dessous, pour cause de différence de hauteur entre ls eux demi-fuselages. L’ensemble des portes d’évacuation latérale peut être laissé démonté, le poste de pilotage est articulé sur des rampes circulaires, un peu fragiles, mais fout ceci permet de composer des dioramas. La boîte comprend également un pilote et un parachutiste équipé prêt à monter dans l’appareil.
North American F-107 A Ultra Sabre, Trumpeter, 1/72
Le 10 septembre 1956, le F-107 A, initialement conçu comme une version de chasse-bombardement du F-100 Super sabre atteignit Mach 1,03 lors de son premier vol. Il atteignit Mach 2 le 3 Novembre 1956. Il se caractérisait par une soute concave sous le fuselage et une entrée d’air située sur le dessus du fuselage. Trois prototypes furent construits, mais malgré des essais intensifs, il lui fut préféré le Republic F-105 Thunderchief sélectionné par le Tactical Air Command fin 1957.
La maquette Trumpeter référence 01605 permet de réaliser au choix l’un de ces 3 prototypes. Les volets internes peuvent être braqués. Les décals sont de bonne qualité. La verrière centrale s’ajuste mal, j’ai fini par trouver sur Internet un film qui montrait un départ en mission ; cette verrière se lève quasiment verticalement dans l’alignement de la cloison située derrière le siège. J’ai réalisé un simple montage « outillage » à base de profilés Evergreen, n’ayant pas une définition précise du système de relevage et de son vérin. C’est tout de même une maquette indispensable pour les collectionneurs de « Century Fighters ».
Messerschmitt P.1100 B, CMK, 1/72
Ce projet de bombardier rapide mû par deux moteurs He S 001 A Triebwerken était en étude en 1944. La forme des ailes et des empennages rappelle ceux du Me 262.
La maquette CMK est entièrement en résine de 3 couleurs différentes. Pour les demi-fuselages , les ailes et les empennages, j’ai utilisé une résine du type « Araldite » après avoir installé 2 tiges métalliques de 1,2 mm pour renforcer le collage de l’empennage horizontal et deux tiges de coton-tige de 2,5 mm pour aligner les ailes. Ces pièces sont globalement exemptes de bulles, et même relativement solides en flexion. Cependant les trains principaux, du fait de leur angle d’installation, sont soumis à flexion, et le modèle déjà lourd tombe sur son arrière. Compte-tenu de ce centrage trop arrière, du manque de rigidité des trains et du fait qu’il s’agissait d’un projet, j’ai choisi de la placer sur des tréteaux et supports en scratch, et je n’ai posé aucun insigne, comme s’il en était arrivé au stade de la maquette grandeur ou du prototype en construction. La verrière en rhodoïd ( ?) est étonnamment teintée en jaune.
Schnellboot S-100, Revell, 1/72
Ces vedettes lance-torpilles rapides furent crées par le chantier naval Friedrich Lürssen à Vegesack. Elles furent surtout utilisées au long des côtes de France et de Hollande jusqu’en Mer Baltique, mais aussi en Mer Noire et en Méditerranée. Le type S-100 entra en service en 1943, propulsé par 3 moteurs Daimler Benz MB 511-V d’une puissance cumulée de 7500 cv, permettant une vitesse de 43,5 nœuds (48 nœuds en surpuissance). Il était armé de 2 tubes lance-torpilles pour torpilles G7A, d’un canon de 20 mm Flak 38, d’un jumelage de 20mm sur affût fixe. Sur les derniers modèles, l’armement fut renforcé par une pièce de 37 mm (Flak 36) en poupe.
La maquette Revell est bien détaillée, du fil plutôt rigide est fourni pour représenter certains cordages situés à l’avant sur le pont et le garde-corps arrière. Quant aux antennes, je les ai réalisées en fil de nylon passé sur un feutre noir.
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