Version biplace d’entrainement développé à partir du chasseur F-80 (P-80), il fut utilisé par de nombreux pays, dont le Japon qui le remplaça ensuite par le Fuji T-1. Cette maquette Hasegawa distribué par Hales sous la référence JS-038 est assez basique avec une fine gravure en relief. Les pilotes maigrichons seront abandonnés au profit d’un intérieur et de sièges améliorés en carte plastique, planches de bord incluses (photos disponibles sur Internet). Le montage de la longue verrière, assez épaisse, a été mise en place à la colle à bois qui permet e même temps de combler les interstices. Les joints autour des différents vitrages sont réalisés par de fines bandes d’adhésif « électricien », avant de figer le tout dans un bain de Klir.
Ce bi-réacteur bi-place qui fut parfois surnommé le « Jaguar japonais » du fait d’une configuration générale assez roche, a donné naissance à la version FS-T2 KAI, plus tard désignée F-1, un chasseur d’appui. Envergue 7,88 m, longueur 17,85 m, hauteur 4,45 m, surface alaire 21,17 m2. Masse de 9673 à 11464 kg selon missions. Motorisation= 2 Rolls-Royce Turboméca RB172/T260. Vitesse maxi = Mach 1,6. Armement fixe = 1 canon M61A1 de 20 mm.
La maquette Hasegawa référence E16 du Mitsubishi T-2 comporte les pièces de conversion nécessaires à faire un T-1, en fait une fausse verrière opaque à coller à l’intérieur de la verrière arrière. Ayant déjà réalisé un T-2 aux couleurs de la patrouille lue Impulse, j’ai pu ainsi compléter simplement la famille de cet élégant appareil. La maquette est finement moulée en léger relief, avec toutes les antennes et perche Pitot intégrées à l’un des demi-fuselages. Peinture de l’intrados à l’aérographe, de même que le brun clair du camouflage supérieur 3 tons, les verts moyen et foncé étant peints au pinceau (pots Humbrol 116, 117 et 118 pour ces 3 couleurs).
La notice suggère un bidon sous une aile, un gros missile bi-colore sous l’autre. On dispose de 2 bidons et de deux missiles en sus des 2 Sidewinder placés aux extrémités de la voilure.
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Développé à partir de l’avion d’entraînement T-37 B, cet appareil répondant au programme COIN (Counter Insurgency) fit son premier vol en Septembre 1967 et fut fabriqué en 39 exemplaires, avant le lancement de l’A37 B doté d’un moteur plus puissant. Envergure= 10,93 m, longueur =8,92 m, hauteur = 2,70 m. Masse maxi au décollage = 6350 kg. Propulsé par 2 GE/J85-GE-17A de 1290 daN de poussée. Vitesse maximale = 816 km/h à 4875m. Armement fixe = 1 GAU-28/A de 7,62 mm.
La maquette Hasegawa permet de réaliser soit un OA-37B du 19th TASS, 51st TFW de l’USAF tout gris, soit cet A-37 A du 604th SOS, 3rd TFW en camouflage 3 tons type Vietnam. Peinture de l’intrados à l’aérographe, de même que le brun clair du camouflage supérieur 3 tons, les verts moyen et foncé étant peints au pinceau (pots Humbrol 116, 117 et 118 pour ces 3 couleurs).
C’est la première version de ce très gros chasseur bombardier dont le nez renferme 6 mitrailleuses.
Le modèle est produit par Hobbycraft qui propose également sous d’autres références les versions C, D, H et J. Deux décorations sont proposées, un F-89A entièrement aluminium et cet F-89 A/B aluminium avec des extrémités de bidons rouges. La maquette est simple et comporte néanmoins de qui aménager le long cockpit biplace en tandem. La verrière est en deux parties, mais quand on tente de placer la partie coulissante en position fermée, il reste un jour de près de 2 mm par rapport au pare-brise. Le collage en position ouverte est donc nécessaire pour cacher de défaut. La planche de décals est des plus succincte et ne comporte aucun marquage de servitude (marche-pieds, indications « No Step », etc…). Les joints autour des différents vitrages sont réalisés par de fines bandes d’adhésif « électricien », avant de figer le tout dans un bain de Klir.
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La première version A fit son premier vol en Août 1948, et les premières livraisons eurent lieu en 1950. Les versions suivantes, telle la version D firent du Scorpion le premier avion conçu pour être seulement armé de roquettes, puis de missiles air-air Hughes Falcon, puis de missiles air-air nucléaires ont un fu tiré en essais le 19 Juillet 1957 à partir d’un appareil de la version F-89 J Parmi les quelques 1050 Scorpions fabriqués, 250 F-89 D furent convertis en F-89 J. ils restèrent en tout 17 ans en service dans l’USAF équipant 39 Escadrons dans le cadre de la guerre froide avec l’URSS.
La maquette Academy est constituée en majorité des mêmes pièces que la maquette Hobbycraft, rigoureusement identiques. Par contre, la planche de décals est plutôt complète et bien imprimée, mais d’une adhérence inégale, certains se sont décollés avant que je n’ai pu protéger l’ensemble, notamment la série de 4 « NO STEP » situés suer la paroi latérale des entrées d’air. Comme pour la maquette Hobbycraft, la verrière est en deux parties, mais quand on tente de placer la partie coulissante en position fermée, il reste un jour de près de 2 mm par rapport au pare-brise. Le collage en position ouverte est donc nécessaire pour cacher de défaut.
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C’est la maquette Hasegawa, complétée d’un kit Verlinden rachetée à un collègue qui avait juste ébauché le montage du fuselage. Une occasion pour moi de découper, les parois, coller les inserts en résine et les pièces en métal photo-découpé à la cyano-acrylate, mais aussi à la colle à bois dans certains cas. La maquette de base est très fine. Les ajouts s’installent plutôt bien, hormis la platine métallique de l’antenne radar dont j’ai découvert après peinture et décals, lors de son collage que j’avais réservé pour la fin, qu’elle avait un diamètre supérieur au fuselage local et débordait dudit fuselage, surtout en dessous dans mon cas … Le siège arrière en résine ne s’insère pas dans le poste de pilotage arrière, j’ai du louper quelque chose, mais c’est trop tard. J’ai donc décidé de poser ce siège arrière (de type C2 sur cet avion japonais) sur un outillage de transport en scratch, de même que le cône avant dont le Pitot a été remplacé par une corde à piano de 0,5 mm… que je me suis enfoncée dans le pouce ! Le tpout est posé sur un chariot de servitude d’une boîte Hasegawa de matériels de pistes U.S. réalisée il y a moult années. La décoration de mon choix était partiellement présente sur la planche de décals surnuméraire, et j’ai pioché dans le boîte à rabiot les chiffres manquants pour faire le « 007 » présenté dans le fascicule N°16 édité par Histoires & Collections.
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